La députée non-inscrite Anta Babacar Ngom a interpellé le ministre de la Justice, Me Ousmane Diagne, devant l’Assemblée nationale :
« Pensez-vous que nous ne voulons pas connaître la vérité sur les atrocités évoquées dans cette loi d’amnistie, votée en mars 2024 et qui doit être interprétée ce mercredi ? Je vous le dis : nous sommes tous favorables à l’établissement de la vérité. Mais pas dans une démarche sélective, car ceux qui ont saccagé et détruit des édifices publics doivent, eux aussi, répondre de leurs actes. »
Dans sa plaidoirie, la députée a appelé à des concertations en vue de mettre en place un comité « vérité et réconciliation ».
« Pensez-vous que nous ne voulons pas connaître la vérité sur les atrocités évoquées dans cette loi d’amnistie, votée en mars 2024 et qui doit être interprétée ce mercredi ? Je vous le dis : nous sommes tous favorables à l’établissement de la vérité. Mais pas dans une démarche sélective, car ceux qui ont saccagé et détruit des édifices publics doivent, eux aussi, répondre de leurs actes. »
Dans sa plaidoirie, la députée a appelé à des concertations en vue de mettre en place un comité « vérité et réconciliation ».
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