L’affaire Doro Gaye continue de secouer le paysage judiciaire sénégalais. Inculpé et placé sous mandat de dépôt à la suite de sa convocation mi-novembre, le colonel Cheikh Sarr n’entend pas se laisser faire. Selon Les Échos, l’ancien patron de la Section de recherches (SR) a saisi la Chambre d’accusation pour contester son inculpation.
Une offensive judiciaire pour vices de procédure
D’après Les Échos, les avocats du colonel Cheikh Sarr contestent la régularité de la procédure engagée contre leur client. Ils dénoncent des « vices de forme commis par le juge d’instruction », estimant que certaines étapes judiciaires obligatoires n’ont pas été respectées. « Il y a des préalables que le magistrat instructeur devait poser et qui n’ont pas été faits », insistent-ils.
En conséquence, la défense du colonel plaide la « nullité de forme » et espère obtenir l’annulation des charges qui pèsent contre lui. Cette initiative marque la deuxième requête introduite dans ce dossier pour contester la procédure, rappelle Les Échos.
Un dossier aux multiples rebondissements
Avant cette démarche de Cheikh Sarr, la défense de Doro Gaye avait déjà saisi la justice pour faire annuler la procédure lancée contre lui par l’homme d’affaires Zakiroulahi Sow. Parmi les arguments avancés, les avocats de Doro Gaye dénonçaient une décision du juge d’instruction qu’ils considèrent comme précipitée et irrégulière.
« Le juge d’instruction avait révoqué le contrôle judiciaire avant même que leur client ne quitte le pays, alors qu’aucune des conditions du contrôle judiciaire n’a été violée », rappelle Les Échos. Cette contestation, qui n’a pas encore livré son verdict, vient donc s’ajouter à la contre-offensive judiciaire du colonel Cheikh Sarr.
Vers une bataille judiciaire prolongée ?
Avec cette nouvelle saisine de la Chambre d’accusation, le dossier Doro Gaye continue de prendre une tournure complexe. La justice devra trancher sur les multiples recours déposés par les différents protagonistes, ce qui pourrait prolonger l’affaire bien au-delà des premières estimations.
Reste à savoir si ces démarches permettront aux accusés d’échapper aux poursuites ou si la procédure sera maintenue, plongeant ainsi cette affaire dans un feuilleton judiciaire à rebondissements.
Une offensive judiciaire pour vices de procédure
D’après Les Échos, les avocats du colonel Cheikh Sarr contestent la régularité de la procédure engagée contre leur client. Ils dénoncent des « vices de forme commis par le juge d’instruction », estimant que certaines étapes judiciaires obligatoires n’ont pas été respectées. « Il y a des préalables que le magistrat instructeur devait poser et qui n’ont pas été faits », insistent-ils.
En conséquence, la défense du colonel plaide la « nullité de forme » et espère obtenir l’annulation des charges qui pèsent contre lui. Cette initiative marque la deuxième requête introduite dans ce dossier pour contester la procédure, rappelle Les Échos.
Un dossier aux multiples rebondissements
Avant cette démarche de Cheikh Sarr, la défense de Doro Gaye avait déjà saisi la justice pour faire annuler la procédure lancée contre lui par l’homme d’affaires Zakiroulahi Sow. Parmi les arguments avancés, les avocats de Doro Gaye dénonçaient une décision du juge d’instruction qu’ils considèrent comme précipitée et irrégulière.
« Le juge d’instruction avait révoqué le contrôle judiciaire avant même que leur client ne quitte le pays, alors qu’aucune des conditions du contrôle judiciaire n’a été violée », rappelle Les Échos. Cette contestation, qui n’a pas encore livré son verdict, vient donc s’ajouter à la contre-offensive judiciaire du colonel Cheikh Sarr.
Vers une bataille judiciaire prolongée ?
Avec cette nouvelle saisine de la Chambre d’accusation, le dossier Doro Gaye continue de prendre une tournure complexe. La justice devra trancher sur les multiples recours déposés par les différents protagonistes, ce qui pourrait prolonger l’affaire bien au-delà des premières estimations.
Reste à savoir si ces démarches permettront aux accusés d’échapper aux poursuites ou si la procédure sera maintenue, plongeant ainsi cette affaire dans un feuilleton judiciaire à rebondissements.
Autres articles
-
Keur Socé : le Maire El Hadj Malick Ndiagane appuie les Daara en denrées alimentaires
-
Zone des Niayes / Face aux difficultés liées à la commercialisation de près de 100 mille tonnes de pommes de terre : Les producteurs maraîchers de Cayar tirent la sonnette d'alarme
-
Loi d’amnistie : Entre abrogation et interprétation, la CNDH plaide pour un dialogue national inclusif
-
Dossier des terres du pôle urbain de Diamniadio : le Grand Jaraff Mamadou Diop Thioune réaffirme la légitimité des actions de la DGPU
-
Kaolack – Dr Abdourahmane Ba sur la loi d’amnistie : « Elle doit être le produit d’une large discussion entre toutes les parties prenantes »