L'exécution du premier jour du couvre-feu un peu partout dans le pays, fait l'objet de nombreuses réactions du côté des justiciables sénégalais.
Si certains citoyens sont d'avis que les mesures prises par l'autorité doivent être appliquées à la lettre sans aucune tolérance, d'autres estiment que les forces de l'ordre et de sécurité ne doivent pas utiliser la violence face aux récalcitrants.
Abdou Lahad Ndiaye, chauffeur de taxi de son état, reste convaincu que "l'État doit prendre toutes ses responsabilités pour l'exécution des mesures prises, car le Sénégalais ne connaît pas la rigueur dans le respect des lois".
Une idée loin d'être partagée par son camarade, Mouhamadou Moustapha Diagne chauffeur de particulier.
De son avis, " tout le monde est d'accord sur l'État d'urgence et le couvre-feu, ce qui est par contre intolérable, c'est l'attitude des forces de l'ordre et de sécurité sur le terrain. Frapper les gens ne fait pas partie de la loi. Mais il faut plutôt appliquer les règles établies par la loi en période de couvre-feu".
Un débat qui est loin de connaître son épilogue, si l'on sait que certains membres de la société civile ont alerté les autorités sur l'exécution du couvre-feu sur l’étendue du territoire national...
Si certains citoyens sont d'avis que les mesures prises par l'autorité doivent être appliquées à la lettre sans aucune tolérance, d'autres estiment que les forces de l'ordre et de sécurité ne doivent pas utiliser la violence face aux récalcitrants.
Abdou Lahad Ndiaye, chauffeur de taxi de son état, reste convaincu que "l'État doit prendre toutes ses responsabilités pour l'exécution des mesures prises, car le Sénégalais ne connaît pas la rigueur dans le respect des lois".
Une idée loin d'être partagée par son camarade, Mouhamadou Moustapha Diagne chauffeur de particulier.
De son avis, " tout le monde est d'accord sur l'État d'urgence et le couvre-feu, ce qui est par contre intolérable, c'est l'attitude des forces de l'ordre et de sécurité sur le terrain. Frapper les gens ne fait pas partie de la loi. Mais il faut plutôt appliquer les règles établies par la loi en période de couvre-feu".
Un débat qui est loin de connaître son épilogue, si l'on sait que certains membres de la société civile ont alerté les autorités sur l'exécution du couvre-feu sur l’étendue du territoire national...
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