De célèbre artiste d'hier, il ne lui reste que des souvenirs aujourd'hui car étant amputé de la jambe droite. Mamadou Baldé, artiste de renom, plus connu sous le nom de « Kalda », habitant le village de Dembacoumbel dans la commune de Paroumba, est à la recherche de soutien aujourd’hui. Cette ancienne coqueluche des foules du Fouladou avec ses talents de danseur hors pair a cessé ses spectacles extraordinaires devant les foules. C’est une maladie brutale qui a attaqué sa jambe droite début Avril 2020 qui aboutira à l’amputation de sa jambe. Malgré, son courage et les nombreux soins reçus, il perdra cette jambe en septembre 2021.
Il estime que « aujourd’hui, je manque de soutien. J’ai l’impression que j’ai été comme une orange dont on avait besoin que du jus. Et après usage, c’est fini on jette les zestes d’orange. Je suis un chef de famille avec deux épouses et 7 enfants à nourrir, sans aucune aide. Je pense que je suis abandonné par tout le monde. Je suis seul au monde. J’ai tapé à plusieurs portes sans succès. Au moment où j’usais de mes deux jambes j’égayais tout le monde et on sollicitait mes services partout… »
Dans la foulée, il précise les larmes aux yeux « aujourd’hui, je marche avec des béquilles. Et je ne demande qu’une seule chose avoir au moins des protèges-jambes juste pour pouvoir me déplacer. »
C’est pourquoi, toutes les âmes sensibles, les défenseurs de la culture, les leaders politiques et les fils de la diaspora sont interpellés pour lui venir en aide.
Il estime que « aujourd’hui, je manque de soutien. J’ai l’impression que j’ai été comme une orange dont on avait besoin que du jus. Et après usage, c’est fini on jette les zestes d’orange. Je suis un chef de famille avec deux épouses et 7 enfants à nourrir, sans aucune aide. Je pense que je suis abandonné par tout le monde. Je suis seul au monde. J’ai tapé à plusieurs portes sans succès. Au moment où j’usais de mes deux jambes j’égayais tout le monde et on sollicitait mes services partout… »
Dans la foulée, il précise les larmes aux yeux « aujourd’hui, je marche avec des béquilles. Et je ne demande qu’une seule chose avoir au moins des protèges-jambes juste pour pouvoir me déplacer. »
C’est pourquoi, toutes les âmes sensibles, les défenseurs de la culture, les leaders politiques et les fils de la diaspora sont interpellés pour lui venir en aide.
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