Le nouvel affrontement entre gangs criminels rivaux a eu lieu dans la soirée au centre pénitentiaire Alcaçuz, la plus grande prison de l'Etat de Rio Grande do Norte (nord-est).
"De ce que nous avons vu, nous pouvons affirmer qu'il y a au moins trois prisonniers morts, car nous avons pu voir leurs têtes", avait indiqué dans un premier temps le coordinateur de l'administration pénitentiaire de l'Etat, Zemilton Silva, à des médias locaux.
Le ministère de la Sécurité publique a ensuite fait état de dix morts. Après 14 heures d'affrontement, les forces de l'ordre ont repris le contrôle de la prison, et aucun prisonnier ne s'est évadé, a-t-il également précisé.
Les autorités ont encerclé la prison surpeuplée pour éviter les évasions, mais ont expliqué que la police militaire et les agents pénitentiaires avaient dû attendre l'aube pour pénétrer dans les bâtiments, les détenus ayant coupé le courant et étant lourdement armés.
Il s'agit de la dernière flambée de violence en date dans les prisons brésiliennes, où une centaine de détenus ont été tués depuis le début de l'année. Cinquante-six détenus ont été massacrés début janvier dans une prison de Manaus, au nord du Brésil. Cinq jours plus tard, 31 autres ont été brutalement assassinés dans l'État de Roraima (nord). Le 8 janvier, quatre détenus étaient tués dans une autre prison de Manaus.
Les autorités expliquent ces tueries par une guerre sanglante entre les deux principaux gangs criminels du pays pour le contrôle de l'approvisionnement et de la vente de cocaïne: le Premier Comando de la Capitale (PCC), de Sao Paulo, et le Comando Vermelho (CV) de Rio de Janeiro, et leurs alliés.
Les principaux quotidiens brésiliens affirment que la rixe à Alcaçuz a opposé le PCC au Syndicat du Crime, allié au Comando Vermelho.
"De ce que nous avons vu, nous pouvons affirmer qu'il y a au moins trois prisonniers morts, car nous avons pu voir leurs têtes", avait indiqué dans un premier temps le coordinateur de l'administration pénitentiaire de l'Etat, Zemilton Silva, à des médias locaux.
Le ministère de la Sécurité publique a ensuite fait état de dix morts. Après 14 heures d'affrontement, les forces de l'ordre ont repris le contrôle de la prison, et aucun prisonnier ne s'est évadé, a-t-il également précisé.
Les autorités ont encerclé la prison surpeuplée pour éviter les évasions, mais ont expliqué que la police militaire et les agents pénitentiaires avaient dû attendre l'aube pour pénétrer dans les bâtiments, les détenus ayant coupé le courant et étant lourdement armés.
Il s'agit de la dernière flambée de violence en date dans les prisons brésiliennes, où une centaine de détenus ont été tués depuis le début de l'année. Cinquante-six détenus ont été massacrés début janvier dans une prison de Manaus, au nord du Brésil. Cinq jours plus tard, 31 autres ont été brutalement assassinés dans l'État de Roraima (nord). Le 8 janvier, quatre détenus étaient tués dans une autre prison de Manaus.
Les autorités expliquent ces tueries par une guerre sanglante entre les deux principaux gangs criminels du pays pour le contrôle de l'approvisionnement et de la vente de cocaïne: le Premier Comando de la Capitale (PCC), de Sao Paulo, et le Comando Vermelho (CV) de Rio de Janeiro, et leurs alliés.
Les principaux quotidiens brésiliens affirment que la rixe à Alcaçuz a opposé le PCC au Syndicat du Crime, allié au Comando Vermelho.
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