Les membres de la Commission Aménagement du territoire, Urbanisme, Habitat, Infrastructures et Transports de l’Assemblée nationale ont effectué hier une visite des installations ferroviaires à Thiès. Cette visite leur a permis de constater de visu la situation sur le terrain afin de formuler des recommandations visant à relancer ce secteur en léthargie depuis plusieurs années.
« Nous sommes aujourd'hui à Thiès, au cœur des chemins de fer du Sénégal, et notre message est clair : les députés et les cheminots refusent la mort du rail. La visite de nos ateliers nous a donné un aperçu du potentiel énorme que recèle le secteur ferroviaire, un potentiel qui donne des sueurs froides de ne pas être pleinement exploité », a déclaré d'emblée le président de ladite commission. Il a ensuite ajouté : « Aujourd'hui, le transport ferroviaire représente une alternative pertinente pour le déplacement des personnes et des marchandises. Certes, les investissements sont conséquents, mais l'État doit prendre une décision radicale sur cette question. Nous ne pouvons plus tolérer que les chemins de fer du Sénégal croupissent dans cette léthargie... »
Pour sa part, le directeur général de la Société nationale Les Chemins de Fer du Sénégal (SN-CFS), Ibrahima Bâ, a saisi cette occasion pour dresser un état des lieux.
« C'est la première fois que nous accueillons des députés sur notre site pour qu'ils puissent s'informer de la situation des chemins de fer du Sénégal et échanger avec nous sur nos projets, nos défis actuels et nos perspectives. Nous avons mis l'accent sur les difficultés que nous rencontrons, notamment les problèmes liés au patrimoine ferroviaire, que nous tentons de résoudre par des voies judiciaires extrêmement longues. Nous espérons qu'avec le soutien des parlementaires, nous pourrons trouver des solutions plus efficaces à ces problèmes de patrimoine », a-t-il souligné.
« Nous avons évoqué la nécessité de relancer l'exploitation ferroviaire à travers un ambitieux programme de développement d'un réseau moderne de 2 000 km de voies, mais cela prendra du temps. En attendant, nous disposons d'un potentiel existant qui pourrait répondre à certaines urgences, notamment sur nos routes où les accidents sont nombreux. Un redémarrage du chemin de fer pourrait véritablement soulager une partie de la population », a-t-il conclu.
« Nous sommes aujourd'hui à Thiès, au cœur des chemins de fer du Sénégal, et notre message est clair : les députés et les cheminots refusent la mort du rail. La visite de nos ateliers nous a donné un aperçu du potentiel énorme que recèle le secteur ferroviaire, un potentiel qui donne des sueurs froides de ne pas être pleinement exploité », a déclaré d'emblée le président de ladite commission. Il a ensuite ajouté : « Aujourd'hui, le transport ferroviaire représente une alternative pertinente pour le déplacement des personnes et des marchandises. Certes, les investissements sont conséquents, mais l'État doit prendre une décision radicale sur cette question. Nous ne pouvons plus tolérer que les chemins de fer du Sénégal croupissent dans cette léthargie... »
Pour sa part, le directeur général de la Société nationale Les Chemins de Fer du Sénégal (SN-CFS), Ibrahima Bâ, a saisi cette occasion pour dresser un état des lieux.
« C'est la première fois que nous accueillons des députés sur notre site pour qu'ils puissent s'informer de la situation des chemins de fer du Sénégal et échanger avec nous sur nos projets, nos défis actuels et nos perspectives. Nous avons mis l'accent sur les difficultés que nous rencontrons, notamment les problèmes liés au patrimoine ferroviaire, que nous tentons de résoudre par des voies judiciaires extrêmement longues. Nous espérons qu'avec le soutien des parlementaires, nous pourrons trouver des solutions plus efficaces à ces problèmes de patrimoine », a-t-il souligné.
« Nous avons évoqué la nécessité de relancer l'exploitation ferroviaire à travers un ambitieux programme de développement d'un réseau moderne de 2 000 km de voies, mais cela prendra du temps. En attendant, nous disposons d'un potentiel existant qui pourrait répondre à certaines urgences, notamment sur nos routes où les accidents sont nombreux. Un redémarrage du chemin de fer pourrait véritablement soulager une partie de la population », a-t-il conclu.
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