Quelques jours avant les élections législatives, Dakaractu s'est fait l'écho de sondages d'opinion réalisés par un cabinet d'études dakarois. Statinfo puisque c'est ledit cabinet d'études, s'est intéressé à la popularité des hommes politiques et à la faisabilité des législatives du 30 juillet dernier. Il ressortait de ces sondages que les joutes électorales se feraient dans des conditions difficiles puisqu'une belle frange de la population n'avait pas reçu sa carte d'identité biométrique. Il était aussi écrit que la bataille de Dakar serait rude, mais qu'au finish, c'est Benno Bokk Yaakaar qui remporterait la palme.
Les deux jeunes sénégalais qui ont abattu ce travail de titan ne bombent pas le torse. Pour Oumar Diop et Ibrahima Gaye, directeurs associés à Statinfo, c'était leur manière de participer à l'expression démocratique.
Ils précisent d'emblée avoir fait cette étude sur fonds propres. C'est dire que ces sondages qui ont beaucoup fait baver n'ont été commandités par aucune des listes en compétition lors des dernières législatives. “Nous ne pouvons nous permettre d'être partiaux dans notre travail. Il y a va même de notre crédibilité et on risque de se faire taper sur les doigts par nos pairs si nous ne respectons pas la déontologie qui régit notre corporation”, assène Oumar Diop. Qui ajoute que leur seule motivation, c'est de participer à l'élaboration d'une démocratie mûre où les populations et les hommes politiques seront avertis des événements futurs. Non sur la base de divination, mais d'un travail scientifique. Maintenant libre à l'opinion d'apprécier les fruits de leur travail. En tout cas, pour ces deux têtes bien faites, les sénégalais doivent être amenés à bien décrypter les sondages et en tirer les conséquences.
C'est dans cette optique que Oumar et Ibrahima annoncent la réalisation dans un futur proche de sondage sur la notoriété des télévisions. Sans nul doute ça fera encore jaser, mais c'est l'essence même du sondage.
Les deux jeunes sénégalais qui ont abattu ce travail de titan ne bombent pas le torse. Pour Oumar Diop et Ibrahima Gaye, directeurs associés à Statinfo, c'était leur manière de participer à l'expression démocratique.
Ils précisent d'emblée avoir fait cette étude sur fonds propres. C'est dire que ces sondages qui ont beaucoup fait baver n'ont été commandités par aucune des listes en compétition lors des dernières législatives. “Nous ne pouvons nous permettre d'être partiaux dans notre travail. Il y a va même de notre crédibilité et on risque de se faire taper sur les doigts par nos pairs si nous ne respectons pas la déontologie qui régit notre corporation”, assène Oumar Diop. Qui ajoute que leur seule motivation, c'est de participer à l'élaboration d'une démocratie mûre où les populations et les hommes politiques seront avertis des événements futurs. Non sur la base de divination, mais d'un travail scientifique. Maintenant libre à l'opinion d'apprécier les fruits de leur travail. En tout cas, pour ces deux têtes bien faites, les sénégalais doivent être amenés à bien décrypter les sondages et en tirer les conséquences.
C'est dans cette optique que Oumar et Ibrahima annoncent la réalisation dans un futur proche de sondage sur la notoriété des télévisions. Sans nul doute ça fera encore jaser, mais c'est l'essence même du sondage.
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