Après les étudiants de la faculté des sciences juridiques et politiques de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, c’est au tour de ceux de la faculté des lettres et sciences humaines (Flsh) de monter au créneau. Le monde estudiantin semble être déterminé à exiger au ministre de l’enseignement supérieur le respect des engagements de l’État.
« Nous, étudiants, vous adressons cette lettre avec une colère contenue, mais déterminée ». Depuis une année, des milliers d'entre nous n'ont pas perçu leurs Bourses. Votre décision de ne payer qu'un mois de bourse tout en nous demandant d'attendre encore pour le reste est une nouvelle preuve de l'indifférence flagrante avec laquelle vous gérez nos droits et nos besoins. Pendant que vous et l'ensemble du gouvernement percevez vos salaires sans le moindre retard, nous sommes laissés à l'abandon, sans ressources pour subvenir à nos besoins essentiels. Pourtant, nous avons fait preuve d'une patience exceptionnelle. Jamais les étudiants n'ont été aussi tolérants, mais cette tolérance atteint désormais ses limites, », alertent les étudiants de la faculté des lettres tous niveaux confondus.
Ils refusent catégoriquement « le paiement partiel et demandent le versement immédiat et intégral de toutes les bourses dues ». Ces étudiants estiment que le temps des demi-mesures et de la victimisation est révolu. « Si aucune solution concrète n'est apportée rapidement, nous prendrons toutes les mesures nécessaires pour défendre nos droits ». Nous vous rappelons que nous ne quémandons pas, nous réclamons ce qui nous est dû. Si la situation ne se régularise pas rapidement, nous n'hésiterons pas à passer à l'action, avertissent-ils.
« Nous, étudiants, vous adressons cette lettre avec une colère contenue, mais déterminée ». Depuis une année, des milliers d'entre nous n'ont pas perçu leurs Bourses. Votre décision de ne payer qu'un mois de bourse tout en nous demandant d'attendre encore pour le reste est une nouvelle preuve de l'indifférence flagrante avec laquelle vous gérez nos droits et nos besoins. Pendant que vous et l'ensemble du gouvernement percevez vos salaires sans le moindre retard, nous sommes laissés à l'abandon, sans ressources pour subvenir à nos besoins essentiels. Pourtant, nous avons fait preuve d'une patience exceptionnelle. Jamais les étudiants n'ont été aussi tolérants, mais cette tolérance atteint désormais ses limites, », alertent les étudiants de la faculté des lettres tous niveaux confondus.
Ils refusent catégoriquement « le paiement partiel et demandent le versement immédiat et intégral de toutes les bourses dues ». Ces étudiants estiment que le temps des demi-mesures et de la victimisation est révolu. « Si aucune solution concrète n'est apportée rapidement, nous prendrons toutes les mesures nécessaires pour défendre nos droits ». Nous vous rappelons que nous ne quémandons pas, nous réclamons ce qui nous est dû. Si la situation ne se régularise pas rapidement, nous n'hésiterons pas à passer à l'action, avertissent-ils.
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