Les députés de l’Assemblée Nationale ont examiné le projet de loi modifiant le code électoral pour l'augmentation du nombre de députés. Après de vives polémiques sur la question de l'augmentation du nombre de députés, la majorité a proposé des amendements pour maintenir le nombre à 165, afin de se démarquer des accusations de leurs collègues de l'opposition.
Le ministre en charge de la microfinance, Zahra Iyane Thiam, a déploré le volte-face de l’opposition puisque ce projet de loi soumis était le fruit d'un consensus avec les acteurs politiques. « Le Sénégal a la particularité d'avoir un système électoral de concertation pour tous ce qui touchent les questions électorales (...) », a-t-elle d’abord rappelé avant de tacler l’opposition parlementaire.
« Que le consensus soit rompu comme ça parce qu'il faut user de ruse pour tromper les populations est une chose déplorable. Les élections sont très importantes, mais la représentation nationale l'est encore plus », dira-t-elle.
« Il faut dénoncer ce comportement », a-t-elle ajouté, mais heureusement que la majorité a pu rester sur le statu quo tout en se conformant à ce que les textes disent », précisera-t-elle.
Selon la coordonnatrice de la coalition Benno à Sicap Liberté, pour en finir avec l’opposition, la démocratie ne mérite pas cela. « L’opposition nous a habitués à cela. Je ne vois pas pourquoi, au sortir de plusieurs séances de concertation après un vote pratiquement à l'unanimité, attendre que les caméras soient braquées vers vous pour retourner votre veste. »
Le ministre a tenté d’expliquer le bien-fondé de ce projet de loi puisque, rappelle t-elle, dans le cadre de la représentation des députés, pour chaque département de notre pays, il faut une représentation au moins par un député et au plus par 7 députés. Il était donc tout à fait normal avec le nouveau département de Keur Massar qu'on respecte cela, compte non tenu maintenant de ce que la loi indique par rapport au rapport population-député. « Il faut se féliciter que nous ayons un système électoral fiable, résilient et qui se conforme à ce que la règlementation dit », conclura-t-elle...
Le ministre en charge de la microfinance, Zahra Iyane Thiam, a déploré le volte-face de l’opposition puisque ce projet de loi soumis était le fruit d'un consensus avec les acteurs politiques. « Le Sénégal a la particularité d'avoir un système électoral de concertation pour tous ce qui touchent les questions électorales (...) », a-t-elle d’abord rappelé avant de tacler l’opposition parlementaire.
« Que le consensus soit rompu comme ça parce qu'il faut user de ruse pour tromper les populations est une chose déplorable. Les élections sont très importantes, mais la représentation nationale l'est encore plus », dira-t-elle.
« Il faut dénoncer ce comportement », a-t-elle ajouté, mais heureusement que la majorité a pu rester sur le statu quo tout en se conformant à ce que les textes disent », précisera-t-elle.
Selon la coordonnatrice de la coalition Benno à Sicap Liberté, pour en finir avec l’opposition, la démocratie ne mérite pas cela. « L’opposition nous a habitués à cela. Je ne vois pas pourquoi, au sortir de plusieurs séances de concertation après un vote pratiquement à l'unanimité, attendre que les caméras soient braquées vers vous pour retourner votre veste. »
Le ministre a tenté d’expliquer le bien-fondé de ce projet de loi puisque, rappelle t-elle, dans le cadre de la représentation des députés, pour chaque département de notre pays, il faut une représentation au moins par un député et au plus par 7 députés. Il était donc tout à fait normal avec le nouveau département de Keur Massar qu'on respecte cela, compte non tenu maintenant de ce que la loi indique par rapport au rapport population-député. « Il faut se féliciter que nous ayons un système électoral fiable, résilient et qui se conforme à ce que la règlementation dit », conclura-t-elle...
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