Pape Diouf, l’ancien président de l’Olympique de Marseille qui a passé 36 heures de garde à vue dans les locaux de la police, a indiqué ce jeudi en conférence de presse qu’il a plutôt servi de pédagogue aux enquêteurs.
‘’J’ai surtout servi de pédagogue aux policiers, pour expliquer comment fonctionnait un club professionnel, les transferts’’, a dit l’ancien président de l’OM (2005-2010), ajoutant qu’il n’y a pas eu l’ombre d’un grief.
D’ailleurs, a-t-il poursuivi en conférence de presse retranscrite par le site dub quotidien sportif L'Equipe, le juge venu lui annoncer la prolongation de sa garde à vue ''n’était pas à l’aise''.
‘’Il m’a juste répondu qu’il fallait réunir tous les protagonistes en même temps, dans les mêmes conditions. Et tout au long de ces 36 heures, je me suis demandé ce que je faisais là’’, a-t-il dit ajoutant qu’on ne lui reproche rien dans cette affaire.
L’ancien reporter sportif et agent de joueurs, co-fondateur d’une école de journalisme à Marseille n’a pas voulu d’avocat. Il informe ‘’ne s’être pas senti concerné par les intitulés, comme extorsions de fonds, associations de malfaiteurs, etc’’.
‘’J’ai expliqué comment se faisait un recrutement, se passait le marché des transferts, comme nous aurions pu le faire autour d’un café. Ils m’ont posé des questions sur d’éventuelles rétrocessions mais j’ai expliqué qu’à Marseille, de mon temps, avec le conseil de surveillance, tout était réglementé. Le mot rétrocession m’est totalement étranger’’, a-t-il expliqué.
‘’J’ai laissé des comptes totalement propres à l’OM. Je n’ai aucune casserole judiciaire’’, a dit Diouf qui a fait savoir qu’il n’y avait pas eu confrontation entre les différents protagonistes sur cette garde à vue qui concernait aussi son successeur, Jean-Claude Dassier et l’actuel patron de l'OM, Vincent Labrune.
‘’J’ai surtout servi de pédagogue aux policiers, pour expliquer comment fonctionnait un club professionnel, les transferts’’, a dit l’ancien président de l’OM (2005-2010), ajoutant qu’il n’y a pas eu l’ombre d’un grief.
D’ailleurs, a-t-il poursuivi en conférence de presse retranscrite par le site dub quotidien sportif L'Equipe, le juge venu lui annoncer la prolongation de sa garde à vue ''n’était pas à l’aise''.
‘’Il m’a juste répondu qu’il fallait réunir tous les protagonistes en même temps, dans les mêmes conditions. Et tout au long de ces 36 heures, je me suis demandé ce que je faisais là’’, a-t-il dit ajoutant qu’on ne lui reproche rien dans cette affaire.
L’ancien reporter sportif et agent de joueurs, co-fondateur d’une école de journalisme à Marseille n’a pas voulu d’avocat. Il informe ‘’ne s’être pas senti concerné par les intitulés, comme extorsions de fonds, associations de malfaiteurs, etc’’.
‘’J’ai expliqué comment se faisait un recrutement, se passait le marché des transferts, comme nous aurions pu le faire autour d’un café. Ils m’ont posé des questions sur d’éventuelles rétrocessions mais j’ai expliqué qu’à Marseille, de mon temps, avec le conseil de surveillance, tout était réglementé. Le mot rétrocession m’est totalement étranger’’, a-t-il expliqué.
‘’J’ai laissé des comptes totalement propres à l’OM. Je n’ai aucune casserole judiciaire’’, a dit Diouf qui a fait savoir qu’il n’y avait pas eu confrontation entre les différents protagonistes sur cette garde à vue qui concernait aussi son successeur, Jean-Claude Dassier et l’actuel patron de l'OM, Vincent Labrune.
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