La ville de Louga capte près de 12% du total des transferts entrants au Sénégal. Troisième plus grande population rurale du pays, elle est la quatrième région en terme de flux entrants d’envois de fonds, représentant 11,9% du total des transferts entrants au Sénégal. 30% de la population rurale de Louga dépend de ces transferts, révèle une étude intitulée « Comment les transferts d’argent des diasporas sont-ils des leviers de l’inclusion financière ? Etude sur les corridors entre la France, la Côte d’Ivoire, le Mali et le Sénégal ». Menée par « MicroSave » Consulting en partenariat avec la Fondation Mastercard, l’étude propose également des recommandations pour encourager les envois de fonds en tant que leviers d’inclusion financière.
Avec Paris qui concentre la part la plus importante de travailleurs migrants parmi les trois pays d’origine ciblés dont le Sénégal, cette principale source de financement que représentent les transferts d’argent, se voit menacée par la pandémie de COVID-19 qui a presque immobilisé l’économie mondiale.
En effet, les mesures barrières prises par les différents gouvernements du monde entier en vue de lutter contre sa propagation ont bouleversé les habitudes d’envois de fonds des migrants et de leurs familles. En 2019, les transferts de fonds dans le monde étaient estimés à 554 milliards de dollars. Avec le coronavirus, ces transferts mondiaux devraient diminuer de 20 % en 2020 et une deuxième vague pourrait venir impacter les envois de fonds, lit-on encore dans le document.
Dans les trois pays africains cités plus haut, le marché des transferts internationaux a représenté 3,7 milliards de dollars en 2018, selon la Banque mondiale. En 2017, la part des envois de fonds dans le PIB du Sénégal était de 21,08 de milliards USD.
Avec Paris qui concentre la part la plus importante de travailleurs migrants parmi les trois pays d’origine ciblés dont le Sénégal, cette principale source de financement que représentent les transferts d’argent, se voit menacée par la pandémie de COVID-19 qui a presque immobilisé l’économie mondiale.
En effet, les mesures barrières prises par les différents gouvernements du monde entier en vue de lutter contre sa propagation ont bouleversé les habitudes d’envois de fonds des migrants et de leurs familles. En 2019, les transferts de fonds dans le monde étaient estimés à 554 milliards de dollars. Avec le coronavirus, ces transferts mondiaux devraient diminuer de 20 % en 2020 et une deuxième vague pourrait venir impacter les envois de fonds, lit-on encore dans le document.
Dans les trois pays africains cités plus haut, le marché des transferts internationaux a représenté 3,7 milliards de dollars en 2018, selon la Banque mondiale. En 2017, la part des envois de fonds dans le PIB du Sénégal était de 21,08 de milliards USD.
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