Sur la base d'informations sûres et vérifiées, nous écrivions ce matin que la station balnéaire de Saly Portudal était guettée par un risque d'insécurité. Une situation née de l'impossible cohabitation entre police et gendarmerie dans la zone.
Les gendarmes qui n'ont pas pu supporter les coups de Jarnac de la police après l'installation d'un commissariat, ont décidé de réduire leur présence, affaiblissant du coup le dispositif anti-terroriste qui avait fini de faire ses preuves face à la montée des nouvelles menaces. De quoi inquiéter les hôteliers qui ne peuvent s’empêcher de penser à Grand Bassam, en Côte d'Ivoire.
Mais une source policière assure que le même dispositif est maintenu et qu'il n'y a pas de vide créé par la réduction de la présence de la gendarmerie à Saly.
Notre interlocuteur d'indiquer que le nouveau commissariat a un personnel suffisant pour assurer une sécurité pérenne dans la station balnéaire.
Aussi, mentionne-t-il que des éléments de la Brigade d'intervention polyvalente (BIP) sont déployés dans les zones sensibles, avec toute la logistique qui sied, pour déjouer les plans des malfaiteurs. Quant aux hôtels, ils ne sont pas laissés en rade, renchérit-il.
Il a tenu aussi à minimiser la «rivalité» qui empêche gendarmes et policiers de travailler main dans la main comme le leur demandait le ministre de l'Intérieur lors de la cérémonie d'ouverture du Commissariat urbain de Saly.
Toutefois, il peut comprendre la frustration des gendarmes après qu'ils aient été mis sur la touche au profit de la police.
Dans tous les cas, Dakaractu suit de très près cette affaire, car il y va de la sécurité de la station balnéaire de Saly qui fait partie des joyaux du secteur touristique.
Les gendarmes qui n'ont pas pu supporter les coups de Jarnac de la police après l'installation d'un commissariat, ont décidé de réduire leur présence, affaiblissant du coup le dispositif anti-terroriste qui avait fini de faire ses preuves face à la montée des nouvelles menaces. De quoi inquiéter les hôteliers qui ne peuvent s’empêcher de penser à Grand Bassam, en Côte d'Ivoire.
Mais une source policière assure que le même dispositif est maintenu et qu'il n'y a pas de vide créé par la réduction de la présence de la gendarmerie à Saly.
Notre interlocuteur d'indiquer que le nouveau commissariat a un personnel suffisant pour assurer une sécurité pérenne dans la station balnéaire.
Aussi, mentionne-t-il que des éléments de la Brigade d'intervention polyvalente (BIP) sont déployés dans les zones sensibles, avec toute la logistique qui sied, pour déjouer les plans des malfaiteurs. Quant aux hôtels, ils ne sont pas laissés en rade, renchérit-il.
Il a tenu aussi à minimiser la «rivalité» qui empêche gendarmes et policiers de travailler main dans la main comme le leur demandait le ministre de l'Intérieur lors de la cérémonie d'ouverture du Commissariat urbain de Saly.
Toutefois, il peut comprendre la frustration des gendarmes après qu'ils aient été mis sur la touche au profit de la police.
Dans tous les cas, Dakaractu suit de très près cette affaire, car il y va de la sécurité de la station balnéaire de Saly qui fait partie des joyaux du secteur touristique.
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