Une bâtisse R+1 carrelée, située en face des rails, avec ses portails de couleur sombre. Devant la maison, une télévision est fixée à la fenêtre, permettant aux jeunes venus en masse de suivre le match chez les parents du ‘’Lion’’. Ils y étaient nombreux et plus d’un s’était trouvé qui une brique qui une chaise, d’autres, à même le sol, pour suivre ce duel déterminant.
Les occasions étant des moments de tension dans la zone adverse comme dans nos ‘’18’’, les commentaires allaient bon train avec des gesticulations qui trahissaient une certaine angoisse.
Dans le salon des Sarr, les membres de la famille du joueur, très hospitaliers, étaient tantôt calmes, tantôt agités. Mme F. Sy, l’épouse du ‘’Lion’’; elle n’a pas pu cacher son angoisse. Habillée de son maillot de couleur verte sur lequel était estampillé ‘’Wife’’, elle allait et revenait, en demandant toujours si son époux a quitté le banc des remplaçants. Tous réclamaient, dans ce salon, l’entrée en jeu de leur parent, Ismaïla.
Après la fin de la première mi-temps, c’est le but de la délivrance qui a plongé la famille dans une liesse. Des cris, des applaudissements… Au dehors, l’ambiance était pareille. Tous manifestaient leur joie.
Tous jubilaient. Puis arrive le deuxième but sénégalais. Un plaisir de courte durée puisque le but burkinabé qui a un peu réduit le score est venu mettre du sable dans le couscous.
Le Sénégal menant son adversaire par 2 buts à 1, la percée de Sadio Mané qui a fini par creuser l’écart en marquant le 3e but, a créé un semblant de secousse dans la villa des Sarr tout autant qu’au dehors, les cris de joie fusant et déchirant la nuit qui venait de s’installer.
Le coup de sifflet de la fin du match a été ce que semblaient attendre les jeunes pour envahir la maison familiale. Dans un désordre indescriptible, la famille a subi la pression des foules. Tel un tsunami, ils ont pris d’assaut la maison familiale. Seuls les murs ont pu résister à cette ruée des jeunes, plusieurs centaines de supporters, parents et de voisins s’étaient introduits dans la cour de la villa des Sarr, obligeant ses occupants à leur laisser la place. Il fallait alors faire des pieds et des mains pour se frayer un chemin, du fait de l’animation et des danses au rythme des ‘’Bongo’’. Dans les bousculades, certains en ont profité pour commettre des larcins. Mais c’était dans l’ambiance de fête qui s’est prolongée jusqu’à la route où les jeunes couraient et jubilaient dans tous les sens...
Les occasions étant des moments de tension dans la zone adverse comme dans nos ‘’18’’, les commentaires allaient bon train avec des gesticulations qui trahissaient une certaine angoisse.
Dans le salon des Sarr, les membres de la famille du joueur, très hospitaliers, étaient tantôt calmes, tantôt agités. Mme F. Sy, l’épouse du ‘’Lion’’; elle n’a pas pu cacher son angoisse. Habillée de son maillot de couleur verte sur lequel était estampillé ‘’Wife’’, elle allait et revenait, en demandant toujours si son époux a quitté le banc des remplaçants. Tous réclamaient, dans ce salon, l’entrée en jeu de leur parent, Ismaïla.
Après la fin de la première mi-temps, c’est le but de la délivrance qui a plongé la famille dans une liesse. Des cris, des applaudissements… Au dehors, l’ambiance était pareille. Tous manifestaient leur joie.
Tous jubilaient. Puis arrive le deuxième but sénégalais. Un plaisir de courte durée puisque le but burkinabé qui a un peu réduit le score est venu mettre du sable dans le couscous.
Le coup de sifflet de la fin du match a été ce que semblaient attendre les jeunes pour envahir la maison familiale. Dans un désordre indescriptible, la famille a subi la pression des foules. Tel un tsunami, ils ont pris d’assaut la maison familiale. Seuls les murs ont pu résister à cette ruée des jeunes, plusieurs centaines de supporters, parents et de voisins s’étaient introduits dans la cour de la villa des Sarr, obligeant ses occupants à leur laisser la place. Il fallait alors faire des pieds et des mains pour se frayer un chemin, du fait de l’animation et des danses au rythme des ‘’Bongo’’. Dans les bousculades, certains en ont profité pour commettre des larcins. Mais c’était dans l’ambiance de fête qui s’est prolongée jusqu’à la route où les jeunes couraient et jubilaient dans tous les sens...
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