Dans un communiqué rendu public, l’Association des Éditeurs et Professionnels de la presse en ligne (APPEL) s’indigne de l’attaque des locaux du journal en ligne Jotaay et du quotidien « Les Échos » intervenue ce lundi 3 août. Elle a ainsi appelé les organisations membres de la Coordination des Associations de Presse (CAP) et tous les militants de la liberté d’expression à se tenir debout pour dénoncer cette barbarie, mais surtout pour que les auteurs soient traqués et sévèrement punis.
Cette attaque des locaux du journal « Les Échos », regrette l’APPEL, réveille le monstre et pourrait inspirer d’autres renégats et fossoyeurs de la liberté de presse surtout en ces temps de crise et de surchauffe du climat social. L’association des éditeurs de la presse en ligne pense que ce genre d’acte était définitivement révolu au Sénégal depuis le saccage des locaux des journaux L’As et 24 Chrono, il y a de cela plus de 10 ans et trouve inacceptable que dans un État de droit, des journalistes soient agressés pour leurs écrits ou que des entreprises de presse soient mises à sac pour la publication d’une information.
En outre, l’objet supposé de l’attaque qui est la publication d’une information sur l’état de santé Guide des Moustarchidines Wal Moustarchidati, selon l’APPEL, est une information confirmée par des autorités de l’établissement sanitaire. Et le communiqué fournit quelques heures après l’attaque « fournit suffisamment d’indices sur les motifs de l’expédition punitive et les commanditaires », commente l’APPEL qui « s’est dit surpris par la teneur ».
Enfin, l’APPEL de mettre en garde les mystificateurs qui tentent à travers les réseaux sociaux de discréditer le travail des journalistes prétextant que l’information n’est pas avérée où le cas échéant, seul le concerné devrait décider de la porter à l’attention de l’opinion. Une thèse qui ne peut tenir la route compte tenu du statut d’homme public de Serigne Moustapha SY révèle l’APPEL, les règles de base du journalisme étant édifiantes sur cette question, rappelle-t-elle.
Cette attaque des locaux du journal « Les Échos », regrette l’APPEL, réveille le monstre et pourrait inspirer d’autres renégats et fossoyeurs de la liberté de presse surtout en ces temps de crise et de surchauffe du climat social. L’association des éditeurs de la presse en ligne pense que ce genre d’acte était définitivement révolu au Sénégal depuis le saccage des locaux des journaux L’As et 24 Chrono, il y a de cela plus de 10 ans et trouve inacceptable que dans un État de droit, des journalistes soient agressés pour leurs écrits ou que des entreprises de presse soient mises à sac pour la publication d’une information.
En outre, l’objet supposé de l’attaque qui est la publication d’une information sur l’état de santé Guide des Moustarchidines Wal Moustarchidati, selon l’APPEL, est une information confirmée par des autorités de l’établissement sanitaire. Et le communiqué fournit quelques heures après l’attaque « fournit suffisamment d’indices sur les motifs de l’expédition punitive et les commanditaires », commente l’APPEL qui « s’est dit surpris par la teneur ».
Enfin, l’APPEL de mettre en garde les mystificateurs qui tentent à travers les réseaux sociaux de discréditer le travail des journalistes prétextant que l’information n’est pas avérée où le cas échéant, seul le concerné devrait décider de la porter à l’attention de l’opinion. Une thèse qui ne peut tenir la route compte tenu du statut d’homme public de Serigne Moustapha SY révèle l’APPEL, les règles de base du journalisme étant édifiantes sur cette question, rappelle-t-elle.
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