La pandémie de la Covid-19 qui continue d’étendre ses tentacules est en train d’entraîner les acteurs culturels vers les abysses. Restés plus de 6 mois sans activités majeures, les voilà encore affectés par les
mesures draconiennes prises par l’État pour freiner la maladie.
Leur secteur étant rudement affecté par l’interdiction des rassemblements au niveau des espaces publics et des salles de spectacle, spécialement dans la région de Dakar, les acteurs du Centre culturel Blaise
Senghor ont brisé le silence.
Au micro de Dakaractu devant lequel il se sont confiés, beaucoup d’entre ces acteurs ont relevé le caractère dérisoire du montant alloué au secteur de la culture. Il s’agit, entre autres, de Docta (artiste grapheur), Malal Ndiaye (président de la fédération nationale des
ballets et danses fondamentales du Sénégal, par ailleurs directeur artistique de la Compagnie Bakalama) ; Amadou Lamine Sow (danseur professionnel au
théâtre national Daniel Sorano).
Des acteurs qui, dans l’entretien qui suit, ont listé les
difficultés de leurs collègues artistes, les reproches faits à l’État et les
solutions idoines pour ‘’apaiser’’ la souffrance des artistes.
mesures draconiennes prises par l’État pour freiner la maladie.
Leur secteur étant rudement affecté par l’interdiction des rassemblements au niveau des espaces publics et des salles de spectacle, spécialement dans la région de Dakar, les acteurs du Centre culturel Blaise
Senghor ont brisé le silence.
Au micro de Dakaractu devant lequel il se sont confiés, beaucoup d’entre ces acteurs ont relevé le caractère dérisoire du montant alloué au secteur de la culture. Il s’agit, entre autres, de Docta (artiste grapheur), Malal Ndiaye (président de la fédération nationale des
ballets et danses fondamentales du Sénégal, par ailleurs directeur artistique de la Compagnie Bakalama) ; Amadou Lamine Sow (danseur professionnel au
théâtre national Daniel Sorano).
Des acteurs qui, dans l’entretien qui suit, ont listé les
difficultés de leurs collègues artistes, les reproches faits à l’État et les
solutions idoines pour ‘’apaiser’’ la souffrance des artistes.
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