Dans les rues de Dakar, il est fréquent de croiser des hommes, sac ou sachet en main, fouillant dans les ordures des objets recyclables à écouler pour quelques pièces.
Des hommes de cet acabit, nous en avons rencontré lors de notre reportage à la Cité Keur Gorgui, derrière la permanence du Parti démocratique sénégalais. Peu lucide, l’homme dont nous avons croisé le chemin dit être originaire de Guinée Bissau, un pays limitrophe du Sénégal. Gardant l’anonymat, notre interlocuteur prétend être marié, mais précise que sa femme est décédée.
Ses enfants sont pour leur part dans son pays d’origine où il n’a pas mis les pays depuis maintenant six ans. À Dakar, il a des parents, mais ne semble pas en bons termes avec eux.
Par conséquent, il passe la nuit dans un restaurant et au lever du soleil, il prend son sachet à la recherche de quoi se mettre sous la dent. Une vie de misère qui ne plait pas au bissau-guinéen qui n’a cependant aucune qualification.
Un sort triste qui, malheureusement n’est pas prêt de quitter cet homme dont le quotidien se résume à ramasser des bouteilles dans des endroits malfamés pour les revendre à des prix dérisoires. Son seul lot de consolation, il le trouve dans l’alcool…
Des hommes de cet acabit, nous en avons rencontré lors de notre reportage à la Cité Keur Gorgui, derrière la permanence du Parti démocratique sénégalais. Peu lucide, l’homme dont nous avons croisé le chemin dit être originaire de Guinée Bissau, un pays limitrophe du Sénégal. Gardant l’anonymat, notre interlocuteur prétend être marié, mais précise que sa femme est décédée.
Ses enfants sont pour leur part dans son pays d’origine où il n’a pas mis les pays depuis maintenant six ans. À Dakar, il a des parents, mais ne semble pas en bons termes avec eux.
Par conséquent, il passe la nuit dans un restaurant et au lever du soleil, il prend son sachet à la recherche de quoi se mettre sous la dent. Une vie de misère qui ne plait pas au bissau-guinéen qui n’a cependant aucune qualification.
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