L’As quotidien nous apprend que c’est ce 25 avril que le bureau de l’Assemblée nationale se réunira pour fixer l’agenda relatif au vote du fameux projet de loi portant suppression du poste de Premier ministre.
Tout porte à croire que le projet passera en début de semaine devant la commission des lois dirigée par Seydou Diouf, renseigne le journal.
Une plénière s’en suivra pour procéder à l’examen du projet de loi.
La résolution va sans nul doute passer en mode fast track si l’on se fie aux propos du président du groupe parlementaire Benno Bokk Yaakaar qui a câblé nos confrères.
Aymérou Gningue ne semble pas ébranlé par la rébellion des parlementaires en gestation à l’hémicycle révélée par l’As.
Même si beaucoup croient qu’elle n’aboutira pas, le journal nous informe qu’au plus haut sommet de l’État, la frustration de certains parlementaires de la majorité est prise bien au sérieux d’autant que le vote est secret.
À en croire Aymérou Gningue, la réforme passera comme lettre à la poste.
Il table sur au moins 115 députés qui vont voter le projet, a-t-il rassuré dans les colonnes de l’As tout en précisant que 88 députés suffisent à valider la réforme.
Tout porte à croire que le projet passera en début de semaine devant la commission des lois dirigée par Seydou Diouf, renseigne le journal.
Une plénière s’en suivra pour procéder à l’examen du projet de loi.
La résolution va sans nul doute passer en mode fast track si l’on se fie aux propos du président du groupe parlementaire Benno Bokk Yaakaar qui a câblé nos confrères.
Aymérou Gningue ne semble pas ébranlé par la rébellion des parlementaires en gestation à l’hémicycle révélée par l’As.
Même si beaucoup croient qu’elle n’aboutira pas, le journal nous informe qu’au plus haut sommet de l’État, la frustration de certains parlementaires de la majorité est prise bien au sérieux d’autant que le vote est secret.
À en croire Aymérou Gningue, la réforme passera comme lettre à la poste.
Il table sur au moins 115 députés qui vont voter le projet, a-t-il rassuré dans les colonnes de l’As tout en précisant que 88 députés suffisent à valider la réforme.
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