Le SG du Synpics qui s’exprimait sur le thème «Rapport entre forces de sécurité et journalistes sur le terrain : maintien de l’ordre ou abus d’autorité», a souligné l’incidence négative sur la démocratie du pays. « Les incidents impactent négativement sur nos classements dans l’échiquier de la liberté de la presse. Ça déprécie la note du Sénégal ».
Il ajoute que « le journaliste se garde de se comporter en militant, il faut qu’il soit très froid et qu’il sache qu’il est là pour prendre l’information et la porter au public » et aussi «les agents des forces de l’ordre, il faut qu’ils comprennent que le journaliste qu’ils ont en face d’eux n’est pas leurs ennemis, n’est pas un manifestant donc il n’est pas à gazer, il n’est pas à enchaîner, il n’est pas à agresser» fait-il savoir
C’est pourquoi, il a mis sur la table du sous-préfet de Dakar-Plateau une solution pour décrisper les relations tendues entre les forces de l’ordre et la presse. « En rapport avec journalistes sans frontières, nous organiserons des sessions d’échanges pour permettre aux reporters sur le terrain de se réquisitionner, de connaître leurs droits et les limites qu’impose le maintien de l’ordre. Mais aussi aux forces de l’ordre d’avoir des éléments à inclure dans les curricula de formation de leurs hommes », conclut Bamba Kassé.
Il ajoute que « le journaliste se garde de se comporter en militant, il faut qu’il soit très froid et qu’il sache qu’il est là pour prendre l’information et la porter au public » et aussi «les agents des forces de l’ordre, il faut qu’ils comprennent que le journaliste qu’ils ont en face d’eux n’est pas leurs ennemis, n’est pas un manifestant donc il n’est pas à gazer, il n’est pas à enchaîner, il n’est pas à agresser» fait-il savoir
C’est pourquoi, il a mis sur la table du sous-préfet de Dakar-Plateau une solution pour décrisper les relations tendues entre les forces de l’ordre et la presse. « En rapport avec journalistes sans frontières, nous organiserons des sessions d’échanges pour permettre aux reporters sur le terrain de se réquisitionner, de connaître leurs droits et les limites qu’impose le maintien de l’ordre. Mais aussi aux forces de l’ordre d’avoir des éléments à inclure dans les curricula de formation de leurs hommes », conclut Bamba Kassé.
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