
La direction du Centre des œuvres universitaires de Dakar (Coud) réagit après les violentes manifestations survenues dans le campus social dans la nuit du vendredi 25 avril. Cette nuit-là, un groupe d’étudiants avait attaqué un conteneur frigorifique du Restaurant central de l’Université de Dakar. Les étudiants disaient qu’il était en train de débarquer de la viande pourrie destinée à leur consommation. Durant cette soirée, qui avait coïncidé avec le retour mouvementé de l’ancien chef de l’Etat Me Abdoulaye Wade à Dakar, les policiers et les étudiants ont retrouvé l’avenue Cheikh Anta Diop de Dakar en s’échangeant des gaz lacrymogènes et des pierres.
Dans un communiqué, la direction du Coud s’inscrit en faux contre de telles allégations. Elle considère que cette manifestation des étudiants n’avait rien à voir avec les dîners servis le même jour. Puisque, lit-on dans le communiqué, les dîners proposés cette nuit-là, dans tous les restaurants universitaires du Coud, avaient été servis normalement sans aucun problème jusqu’à la fermeture de tous les blocs de restaurant aux environs 22 heures. Revenant sur le conteneur incriminé, la direction précise que ce camion, loin de débarquer de la viande pourrie, «était en train de faire sortir dudit restaurant des caisses contenant de la côtelettes de viande, sur injonction du service des restaurants universitaires en dépit du fait qu’elles remplissaient toutes les conditions d’hygiène et de qualité depuis leur entrée dans le pays par le port jusqu’à leur conservation au Coud avec un certificat de salubrité à l’appui et une date de péremption prévue en 2015».
Le Coud, très sceptique sur les motivations réelles de ces derniers, révèle en outre que parmi les meneurs identifiés de la manifestation, «il n’y avait aucun étudiant délégué ou membre du comité de restauration, qui se réunit régulièrement, dont la mission est de fixer les menus et contrôler les aliments».
Citant la réglementation, la direction du Coud cite que «seule la viande sans os est autorisée à être servie aux étudiants comme c’est le cas pour les poulets qui sont aussi servis sans le cou et les ailes de même que les poissons qui sont servis sans tête ni queue. Ceci pour être conforme aux ratios alimentaires». Perplexe sur les motivations réelles de ce groupe d’étudiants, la direction a estimé que rien ne justifiait le comportement au point «d’étaler la viande dans la rue, d’incendier l’unité de sécurité, de détruire des enseignes lumineuses et même des machines à café utilisées principalement par ces mêmes étudiants». Par conséquent, le Coud se réserve, dévoile le communiqué, le droit de mener des enquêtes nécessaires afin de situer les responsabilités.
Il réaffirme sa détermination à poursuivre sans relâche la politique d’amélioration de la qualité des œuvres sociales et de modernisation du campus social.
Le Quotidien
Dans un communiqué, la direction du Coud s’inscrit en faux contre de telles allégations. Elle considère que cette manifestation des étudiants n’avait rien à voir avec les dîners servis le même jour. Puisque, lit-on dans le communiqué, les dîners proposés cette nuit-là, dans tous les restaurants universitaires du Coud, avaient été servis normalement sans aucun problème jusqu’à la fermeture de tous les blocs de restaurant aux environs 22 heures. Revenant sur le conteneur incriminé, la direction précise que ce camion, loin de débarquer de la viande pourrie, «était en train de faire sortir dudit restaurant des caisses contenant de la côtelettes de viande, sur injonction du service des restaurants universitaires en dépit du fait qu’elles remplissaient toutes les conditions d’hygiène et de qualité depuis leur entrée dans le pays par le port jusqu’à leur conservation au Coud avec un certificat de salubrité à l’appui et une date de péremption prévue en 2015».
Le Coud, très sceptique sur les motivations réelles de ces derniers, révèle en outre que parmi les meneurs identifiés de la manifestation, «il n’y avait aucun étudiant délégué ou membre du comité de restauration, qui se réunit régulièrement, dont la mission est de fixer les menus et contrôler les aliments».
Citant la réglementation, la direction du Coud cite que «seule la viande sans os est autorisée à être servie aux étudiants comme c’est le cas pour les poulets qui sont aussi servis sans le cou et les ailes de même que les poissons qui sont servis sans tête ni queue. Ceci pour être conforme aux ratios alimentaires». Perplexe sur les motivations réelles de ce groupe d’étudiants, la direction a estimé que rien ne justifiait le comportement au point «d’étaler la viande dans la rue, d’incendier l’unité de sécurité, de détruire des enseignes lumineuses et même des machines à café utilisées principalement par ces mêmes étudiants». Par conséquent, le Coud se réserve, dévoile le communiqué, le droit de mener des enquêtes nécessaires afin de situer les responsabilités.
Il réaffirme sa détermination à poursuivre sans relâche la politique d’amélioration de la qualité des œuvres sociales et de modernisation du campus social.
Le Quotidien
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