Maçons de leurs états, F. Mbaye et P. Guèye âgés respectivement de 21 et 22 ans ont été attraits devant le tribunal correctionnel pour le délit d’ivresse publique manifeste (IPM). Appréhendés à Arafat à Grand-Yoff, les prévenus sont poursuivis également du délit d’agression et de l’usage de produits cellulosique ce qu’ils ont tous les deux (2) contestés devant la barre de la juridiction.
P. Guèye est mon ami. Il était venu me rendre visite à mon domicile. C’est au niveau de notre quartier qu’on nous a appréhendés. Je n’étais pas saoule. Je n’ai jamais utilisé de produit cellulosique. Les policiers ont dit que nous étions ivres alors que ce n’était pas le cas. Ils nous ont ensuite collé le motif d’agresseurs», a indiqué F. Mbaye qui précise les différents motifs que les enquêteurs leur ont collé.
« Ils nous ont d'abord collé l’IV avant de le changer en IPM», a expliqué F. Mbaye.
« C’est quoi IPM ? », lui lance le président du tribunal.
« Je l’ignore. Tout ce que je sais c’est l’IV qui signifie la vérification d’identité. Ils collent l’IPM aux alcooliques mais je ne sais pas qu’est-ce que cela signifie. », a répondu le jeune F. Mbaye qui clame son innocence. Pour sa part, P. Guèye tout comme son ami a contesté les faits.
« Les policiers nous ont imposé la force mais nous n’avions rien fait. Ils nous ont arrêté à Arafat. », a-t-il souligné.
Interpellés tous les deux sur le délit d’agression, les jeunes garçons ont rejeté les charges.
« Il y a certes des agressions dans notre quartier mais ce n’est pas nous. Si on en était ivre, on allait jamais opérer dans notre quartier», a déclaré P. Guèye.
« Nous ne sommes pas des agresseurs», a ajouté F. Mbaye.
Le conseil de F. Mbaye a demandé la clémence du tribunal afin de lui permettre tout comme son ami à reprendre leur travail de maçon.
Statuant sur leurs cas, le tribunal a relaxé les prévenus au bénéfice du doute.
P. Guèye est mon ami. Il était venu me rendre visite à mon domicile. C’est au niveau de notre quartier qu’on nous a appréhendés. Je n’étais pas saoule. Je n’ai jamais utilisé de produit cellulosique. Les policiers ont dit que nous étions ivres alors que ce n’était pas le cas. Ils nous ont ensuite collé le motif d’agresseurs», a indiqué F. Mbaye qui précise les différents motifs que les enquêteurs leur ont collé.
« Ils nous ont d'abord collé l’IV avant de le changer en IPM», a expliqué F. Mbaye.
« C’est quoi IPM ? », lui lance le président du tribunal.
« Je l’ignore. Tout ce que je sais c’est l’IV qui signifie la vérification d’identité. Ils collent l’IPM aux alcooliques mais je ne sais pas qu’est-ce que cela signifie. », a répondu le jeune F. Mbaye qui clame son innocence. Pour sa part, P. Guèye tout comme son ami a contesté les faits.
« Les policiers nous ont imposé la force mais nous n’avions rien fait. Ils nous ont arrêté à Arafat. », a-t-il souligné.
Interpellés tous les deux sur le délit d’agression, les jeunes garçons ont rejeté les charges.
« Il y a certes des agressions dans notre quartier mais ce n’est pas nous. Si on en était ivre, on allait jamais opérer dans notre quartier», a déclaré P. Guèye.
« Nous ne sommes pas des agresseurs», a ajouté F. Mbaye.
Le conseil de F. Mbaye a demandé la clémence du tribunal afin de lui permettre tout comme son ami à reprendre leur travail de maçon.
Statuant sur leurs cas, le tribunal a relaxé les prévenus au bénéfice du doute.
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