Après Moustapha Diakhaté, la Cojer aussi exige, pour la paix civile et la réconciliation des cœurs et des esprits, l’audition des personnalités citées dans le livre du Colonel Abdoulaye Aziz N'daw, «ouvrage qui fait l’objet de controverses publiques préjudiciables à l’unité nationale».
Selon Abdou M'bow et Cie, cet ouvrage est émaillé de révélations, d’accusations et d’imputations graves qui mettent en cause l’ancien Président Abdoulaye Wade et d’anciennes personnalités de son régime. Ils y sont cités dans une série de faits et d’actes graves qui portent atteinte à l’intégrité du territoire, à la justice et aux droits de l’homme, sur fond de prédation et de dilapidation des finances publiques. Et pour le triomphe de la vérité, la Cojer qui se veut défenseur de la République et bouclier de ses Institutions, exige qu’Abdoulaye Wade réponde de ses actes, parce que les faits graves qui lui sont imputés sont une violation du serment républicain qu’il avait prêté devant le peuple sénégalais. Or, le Sénégal qu’il a eu à diriger est un Etat de droit où la pratique du pouvoir politique doit s’exercer dans un esprit de service et non d’intérêts privés excessifs, unilatéraux et illégaux. Ceux qui y exercent des responsabilités politiques ont donc des obligations de rendre compte.
C’est pourquoi, la Cojer donne son approbation à la saisine de la Commission de Défense de l’Assemblée nationale et invite celle-ci à prendre toutes ses responsabilités, au nom du Peuple, pour une clarification des accusations et révélations graves contenues dans le livre du Colonel N'daw.
Selon Abdou M'bow et Cie, cet ouvrage est émaillé de révélations, d’accusations et d’imputations graves qui mettent en cause l’ancien Président Abdoulaye Wade et d’anciennes personnalités de son régime. Ils y sont cités dans une série de faits et d’actes graves qui portent atteinte à l’intégrité du territoire, à la justice et aux droits de l’homme, sur fond de prédation et de dilapidation des finances publiques. Et pour le triomphe de la vérité, la Cojer qui se veut défenseur de la République et bouclier de ses Institutions, exige qu’Abdoulaye Wade réponde de ses actes, parce que les faits graves qui lui sont imputés sont une violation du serment républicain qu’il avait prêté devant le peuple sénégalais. Or, le Sénégal qu’il a eu à diriger est un Etat de droit où la pratique du pouvoir politique doit s’exercer dans un esprit de service et non d’intérêts privés excessifs, unilatéraux et illégaux. Ceux qui y exercent des responsabilités politiques ont donc des obligations de rendre compte.
C’est pourquoi, la Cojer donne son approbation à la saisine de la Commission de Défense de l’Assemblée nationale et invite celle-ci à prendre toutes ses responsabilités, au nom du Peuple, pour une clarification des accusations et révélations graves contenues dans le livre du Colonel N'daw.
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