Aliou Cissé est catégorique. « Nous espérons cette étoile ». Il s’exprimait lors de la conférence de presse d’avant-match de demi-finale contre le Burkina Faso. « Nous travaillons pour ça depuis des années. Nous sommes proches. On n'a jamais été aussi proche mais il y a l’obstacle Burkinabé qu’il faut passer. Nous avons un challenge à jouer. Nous avons espoir que cette étoile viendra et nous espérons que ça soit au Cameroun », note Cissé. « Je disais aux garçons que l’objectif est de signer 7 matches et on a la chance de jouer le sixième demain. Ce groupe est motivé et est conscient d’écrire l’histoire... »
« Je ne pense pas à l'échec là où je suis aujourd’hui. Je pense faire tout pour passer le cap des demi-finales. On ne peut pas effacer tout le bonheur que cette génération de 2002 accompagnée d’un encadrement technique et des autorités a donné au peuple sénégalais. Nous espérons cette étoile », souligne Aliou Cissé qui fut le capitaine de cette génération dorée.
Selon Aliou Cissé, cet objectif fixé date depuis longtemps. Quand je suis arrivé, nous étions 14ème sur le plan continental et 64ème de la FIFA, là nous sommes premiers et sommes dans le top 20 de la FIFA. Ce n’est pas un hasard. C’est un travail de longue haleine. Et ce travail ne pourrait être couronné que si cette génération gagne un trophée. Aujourd’hui c’est une page qui s’ouvre. C’est un marathon et il faut croire qu’au bout le résultat sera là. Les statistiques c’est très bien, mais il y a les réalités du terrain », conclut le sélectionneur.
« Je ne pense pas à l'échec là où je suis aujourd’hui. Je pense faire tout pour passer le cap des demi-finales. On ne peut pas effacer tout le bonheur que cette génération de 2002 accompagnée d’un encadrement technique et des autorités a donné au peuple sénégalais. Nous espérons cette étoile », souligne Aliou Cissé qui fut le capitaine de cette génération dorée.
Selon Aliou Cissé, cet objectif fixé date depuis longtemps. Quand je suis arrivé, nous étions 14ème sur le plan continental et 64ème de la FIFA, là nous sommes premiers et sommes dans le top 20 de la FIFA. Ce n’est pas un hasard. C’est un travail de longue haleine. Et ce travail ne pourrait être couronné que si cette génération gagne un trophée. Aujourd’hui c’est une page qui s’ouvre. C’est un marathon et il faut croire qu’au bout le résultat sera là. Les statistiques c’est très bien, mais il y a les réalités du terrain », conclut le sélectionneur.
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