L’histoire qui secoue Khombole est digne d’un scénario glaçant. Un guérisseur de 60 ans, A. Tine, est accusé d’avoir violé sa propre nièce alors âgée de 18 ans sous couvert d’un « massage mystique ». Mais face à l’absence de preuves matérielles solides et des versions contradictoires, l’affaire s’est transformée en un véritable casse-tête judiciaire.
Une séance de soins qui vire au cauchemar
Selon L’Observateur, tout commence en 2021 lorsque F. Tine, souffrant de douleurs aux côtes, se rend chez son oncle guérisseur pour une séance de massage. Ce jour-là, elle est accompagnée de son petit frère, mais A. Tine insiste pour qu’il quitte la pièce. Une fois seuls, il lui demande de se dévêtir et de s’allonger sur une natte pour commencer le traitement.
Ce qui devait être un simple massage aurait alors pris une tournure dramatique. D’après le témoignage de la jeune fille devant la Chambre criminelle de Thiès, son oncle aurait massé son bas-ventre avant d’exiger qu’elle enlève son pantalon. Face à son refus, il l’aurait bâillonnée pour l’empêcher de crier avant de la violer.
Le silence brisé sous la pression maternelle
Choquée et apeurée, la victime garde le silence après l’agression présumée. Mais quelques jours plus tard, sous l’insistance de sa mère qui remarque son comportement étrange, elle finit par avouer. Une consultation médicale au poste de santé de Khombole confirme une ancienne déchirure hyménale, un élément que la famille considère comme une preuve du viol. Une plainte est immédiatement déposée contre A. Tine, et l’affaire est portée devant la justice.
Un procès sans certitudes
Lors de l’audience, la confrontation entre l’accusé et la victime est tendue. A. Tine nie catégoriquement les accusations et affirme s’être limité à un massage des côtes. Il réfute toute agression sexuelle et accuse sa nièce de mentir.
L’affaire devient encore plus complexe lorsque le petit frère de la victime, qui était présent au début de la séance, affirme n’avoir entendu aucun bruit ni cri suspect. Un détail troublant qui fragilise l’accusation.
Face à ce dossier sans preuves médicales concluantes ni témoins directs, le procureur s’est retrouvé dans une impasse. Selon L’Observateur, il a déclaré : « Personne ne peut affirmer avec certitude ce qui s’est réellement passé dans cette chambre. » Faute d’éléments irréfutables, il a requis l’acquittement de l’accusé pour viol.
Verdict attendu le 24 février
L’affaire a été mise en délibéré et sera tranchée le 24 février. Entre parole contre parole, absence de preuves matérielles et doutes du parquet, la justice devra statuer sur une affaire où l’ombre du doute plane lourdement. Acquittement ou condamnation ? Le verdict dira si A. Tine est un guérisseur innocent accusé à tort ou un prédateur ayant profité de son statut pour abuser de sa nièce.
Une séance de soins qui vire au cauchemar
Selon L’Observateur, tout commence en 2021 lorsque F. Tine, souffrant de douleurs aux côtes, se rend chez son oncle guérisseur pour une séance de massage. Ce jour-là, elle est accompagnée de son petit frère, mais A. Tine insiste pour qu’il quitte la pièce. Une fois seuls, il lui demande de se dévêtir et de s’allonger sur une natte pour commencer le traitement.
Ce qui devait être un simple massage aurait alors pris une tournure dramatique. D’après le témoignage de la jeune fille devant la Chambre criminelle de Thiès, son oncle aurait massé son bas-ventre avant d’exiger qu’elle enlève son pantalon. Face à son refus, il l’aurait bâillonnée pour l’empêcher de crier avant de la violer.
Le silence brisé sous la pression maternelle
Choquée et apeurée, la victime garde le silence après l’agression présumée. Mais quelques jours plus tard, sous l’insistance de sa mère qui remarque son comportement étrange, elle finit par avouer. Une consultation médicale au poste de santé de Khombole confirme une ancienne déchirure hyménale, un élément que la famille considère comme une preuve du viol. Une plainte est immédiatement déposée contre A. Tine, et l’affaire est portée devant la justice.
Un procès sans certitudes
Lors de l’audience, la confrontation entre l’accusé et la victime est tendue. A. Tine nie catégoriquement les accusations et affirme s’être limité à un massage des côtes. Il réfute toute agression sexuelle et accuse sa nièce de mentir.
L’affaire devient encore plus complexe lorsque le petit frère de la victime, qui était présent au début de la séance, affirme n’avoir entendu aucun bruit ni cri suspect. Un détail troublant qui fragilise l’accusation.
Face à ce dossier sans preuves médicales concluantes ni témoins directs, le procureur s’est retrouvé dans une impasse. Selon L’Observateur, il a déclaré : « Personne ne peut affirmer avec certitude ce qui s’est réellement passé dans cette chambre. » Faute d’éléments irréfutables, il a requis l’acquittement de l’accusé pour viol.
Verdict attendu le 24 février
L’affaire a été mise en délibéré et sera tranchée le 24 février. Entre parole contre parole, absence de preuves matérielles et doutes du parquet, la justice devra statuer sur une affaire où l’ombre du doute plane lourdement. Acquittement ou condamnation ? Le verdict dira si A. Tine est un guérisseur innocent accusé à tort ou un prédateur ayant profité de son statut pour abuser de sa nièce.
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