
Arrêtés le 24 mai dernier à la faveur du second coup de force des militaires maliens en moins de neuf mois, Bah N’Daw et Moctar Ouane ne sont toujours pas libres de leurs mouvements.
L’ancien président de la transition et son Premier ministre sont en résidence surveillée à Bamako. Une situation que les deux personnalités maliennes ne peuvent plus supporter.
Pour être édifiés sur leur sort, ils ont commis un as des barreaux de Bamako et de Paris. « À leur demande, j’ai accepté d’être leur avocat pour agir, pour le droit contre l’injuste. Je prends immédiatement l’attache des autorités maliennes », a annoncé Me Mamadou Ismaïla Konaté.
Contacté par Dakaractu, l’ancien ministre de la Justice confirme qu’il adressera dès ce mercredi 14 juillet un courrier au président de la Transition, le Colonel Assimi Goita pour demander la libération de Bah N’daw et de Moctar Ouane. La robe noire n’écarte pas de saisir la Cour de justice de la Cedeao si les autorités maliennes n’accèdent pas à sa demande.
Dès les premières heures du coup de force du 24 mai, le sort de Bah N’Daw et de Moctar Ouane a préoccupé la communauté internationale. Aussi bien la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) que les partenaires internationaux du Mali ont réclamé leur libération immédiate et sans condition. Cette privation de liberté est d’autant plus inacceptable qu’aucune charge n’est retenue contre les deux hommes...
L’ancien président de la transition et son Premier ministre sont en résidence surveillée à Bamako. Une situation que les deux personnalités maliennes ne peuvent plus supporter.
Pour être édifiés sur leur sort, ils ont commis un as des barreaux de Bamako et de Paris. « À leur demande, j’ai accepté d’être leur avocat pour agir, pour le droit contre l’injuste. Je prends immédiatement l’attache des autorités maliennes », a annoncé Me Mamadou Ismaïla Konaté.
Contacté par Dakaractu, l’ancien ministre de la Justice confirme qu’il adressera dès ce mercredi 14 juillet un courrier au président de la Transition, le Colonel Assimi Goita pour demander la libération de Bah N’daw et de Moctar Ouane. La robe noire n’écarte pas de saisir la Cour de justice de la Cedeao si les autorités maliennes n’accèdent pas à sa demande.
Dès les premières heures du coup de force du 24 mai, le sort de Bah N’Daw et de Moctar Ouane a préoccupé la communauté internationale. Aussi bien la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) que les partenaires internationaux du Mali ont réclamé leur libération immédiate et sans condition. Cette privation de liberté est d’autant plus inacceptable qu’aucune charge n’est retenue contre les deux hommes...
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