La ministre des affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur, Aïssata Tall Sall, a présidé ce mardi 7 décembre 2021, la cérémonie de clôture de la 7e conférence internationale de Dakar sur la paix et la sécurité en Afrique. Une occasion saisie par la ministre Aïssata Tall Sall pour vulgariser la magistrature du Sénégal dès février 2022 à la tête de l’Union Africaine.
En effet, pour un an à la tête de l’Afrique, le Sénégal a la lourde tâche de mettre à exécution ou de suivre les batteries de réformes déjà entreprises ou retenues à l’issue de ce forum international de Dakar. Ce qui semble d’ailleurs être une préoccupation pour la journaliste tchadienne qui a voulu savoir si le Sénégal, président de la conférence de l’UA, a d’ores et déjà pensé à de nouvelles réformes pour garantir la paix et la sécurité en Afrique.
Pour cette préoccupation, la ministre des affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur, Aïssata Tall Sall, pense en premier lieu qu’ « il est question pour nous, de soutenir les initiatives qui ont été déjà prises par l’Afrique, mais également par les différents instruments que nous avons mis sur place pour apporter plus de sécurité dans nos États et à notre communauté. »
Pour elle, « la force africaine en attente » est l’un des instruments qui doivent permettre aux pays africains de se prendre en charge du point de vue sécuritaire car, poursuit-elle, « les menaces sont en Afrique, les solutions doivent être en Afrique et par les Africains... »
De plus, la ministre Aïssata Tall Sall de rappeler le rôle primordial qu’a toujours joué le G5 Sahel sur les combats de maintien de la paix à travers l’Afrique. Cette réforme et son organe financier la Coalition pour le Sahel sont autant de mesures que le Sénégal peut se permettre d’adopter, selon le ministre lors de son mandat 2022/2023...
En effet, pour un an à la tête de l’Afrique, le Sénégal a la lourde tâche de mettre à exécution ou de suivre les batteries de réformes déjà entreprises ou retenues à l’issue de ce forum international de Dakar. Ce qui semble d’ailleurs être une préoccupation pour la journaliste tchadienne qui a voulu savoir si le Sénégal, président de la conférence de l’UA, a d’ores et déjà pensé à de nouvelles réformes pour garantir la paix et la sécurité en Afrique.
Pour cette préoccupation, la ministre des affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur, Aïssata Tall Sall, pense en premier lieu qu’ « il est question pour nous, de soutenir les initiatives qui ont été déjà prises par l’Afrique, mais également par les différents instruments que nous avons mis sur place pour apporter plus de sécurité dans nos États et à notre communauté. »
Pour elle, « la force africaine en attente » est l’un des instruments qui doivent permettre aux pays africains de se prendre en charge du point de vue sécuritaire car, poursuit-elle, « les menaces sont en Afrique, les solutions doivent être en Afrique et par les Africains... »
De plus, la ministre Aïssata Tall Sall de rappeler le rôle primordial qu’a toujours joué le G5 Sahel sur les combats de maintien de la paix à travers l’Afrique. Cette réforme et son organe financier la Coalition pour le Sahel sont autant de mesures que le Sénégal peut se permettre d’adopter, selon le ministre lors de son mandat 2022/2023...
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