Faire en sorte que toute la ville sainte de Touba soit éclairée à moindre coût. Telle est l’ambition de l’association de Touba Ca Kanam qui a signé avec la société ADMEC une convention de 5 000 lampadaires Led.
«Nous avons constaté qu’il fait trop sombre à Touba et le peu de lampadaires installés dans la commune ne marchent pas. C’est ainsi qu’on s’est concerté avec les chefs de famille et chacun a accepté d’installer une lampe devant sa maison», a déclaré le coordonnateur de Touba Ca Kanam Serigne Fallou Ndiaye qui souligne avoir constaté que les lampes installées ont une durée de vie très courte. «Les lampes n’étaient pas de bonne qualité et elles se grillaient très vite. Quand on s’est rapproché de Directeur de ADMEC, il nous a proposé d’installer des lampadaires Led à basse consommation. Nous avons passé une première commande de 1 000 lampadaires d’ici le grand Magal», ajoute Serigne Fallou Ndiaye qui précise que ce projet d’éclairer la cité religieuse a été lancé sous la bénédiction du défunt Khalife.
Mais, à en croire Claude Petit, le chef de production de la société ADMEC, «le but final, c’est d’installer une usine de production dans un premier temps de tout ce qui peut être éclairage à base de Led». «La première commande c’est un projet final de 5 000 lampes dont 1000 seront déjà installées avant le Magal de Touba et ça va continuer. Ce sont des lampes qui seront installées sur les maisons pour éclairer le trottoir. Nous avons une trentaine de personnes employées pour cette commande. Nous arrivons au bout», assure Claude Petit. Avant de préciser : «Ce projet avance, une usine devrait s’installer. Nous avons déjà eu des commandes, ce qui fait qu’on s’est installé provisoirement pour travailler en mode dégradé c’est-à-dire au lieu de produire complètement le produit, on fait du montage. Le produit arrive en pièce détachée, et on monte le produit».
Selon lui, au jour d’aujourd’hui, ils sont à 600 lampes. «On est allé chercher un produit qui, aujourd’hui, sur le marché est d’une bonne qualité à prix réduit par rapport à ce qu’on peut trouver sur le marché avec une puissance d’éclairage parfaite. C’est 75 % d’économie par rapport à un lampadaire normal. Ceci pour dire qu’on a un produit d’une qualité supérieure et très convenable. D’ici le Magal, on aura installé les 1 000 lampes», renseigne le chef de production de la société ADMEC basé à Noflaye. Il a par ailleurs souligné que tous leurs employés sont des gens basés à Noflaye et environs. «Nous n’avons pas pris des gens qui ont forcément une formation en électricité ou électronique. Les premiers jours, c’était la formation du personnel. Nous avons des personnels du village de Sangalkam, de Noflaye, de Bambilor entre autres», conclut Mr Petit.
«Nous avons constaté qu’il fait trop sombre à Touba et le peu de lampadaires installés dans la commune ne marchent pas. C’est ainsi qu’on s’est concerté avec les chefs de famille et chacun a accepté d’installer une lampe devant sa maison», a déclaré le coordonnateur de Touba Ca Kanam Serigne Fallou Ndiaye qui souligne avoir constaté que les lampes installées ont une durée de vie très courte. «Les lampes n’étaient pas de bonne qualité et elles se grillaient très vite. Quand on s’est rapproché de Directeur de ADMEC, il nous a proposé d’installer des lampadaires Led à basse consommation. Nous avons passé une première commande de 1 000 lampadaires d’ici le grand Magal», ajoute Serigne Fallou Ndiaye qui précise que ce projet d’éclairer la cité religieuse a été lancé sous la bénédiction du défunt Khalife.
Mais, à en croire Claude Petit, le chef de production de la société ADMEC, «le but final, c’est d’installer une usine de production dans un premier temps de tout ce qui peut être éclairage à base de Led». «La première commande c’est un projet final de 5 000 lampes dont 1000 seront déjà installées avant le Magal de Touba et ça va continuer. Ce sont des lampes qui seront installées sur les maisons pour éclairer le trottoir. Nous avons une trentaine de personnes employées pour cette commande. Nous arrivons au bout», assure Claude Petit. Avant de préciser : «Ce projet avance, une usine devrait s’installer. Nous avons déjà eu des commandes, ce qui fait qu’on s’est installé provisoirement pour travailler en mode dégradé c’est-à-dire au lieu de produire complètement le produit, on fait du montage. Le produit arrive en pièce détachée, et on monte le produit».
Selon lui, au jour d’aujourd’hui, ils sont à 600 lampes. «On est allé chercher un produit qui, aujourd’hui, sur le marché est d’une bonne qualité à prix réduit par rapport à ce qu’on peut trouver sur le marché avec une puissance d’éclairage parfaite. C’est 75 % d’économie par rapport à un lampadaire normal. Ceci pour dire qu’on a un produit d’une qualité supérieure et très convenable. D’ici le Magal, on aura installé les 1 000 lampes», renseigne le chef de production de la société ADMEC basé à Noflaye. Il a par ailleurs souligné que tous leurs employés sont des gens basés à Noflaye et environs. «Nous n’avons pas pris des gens qui ont forcément une formation en électricité ou électronique. Les premiers jours, c’était la formation du personnel. Nous avons des personnels du village de Sangalkam, de Noflaye, de Bambilor entre autres», conclut Mr Petit.
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