Le rétablissement du poste de premier ministre n'a pas été occulté par les confrères de Rfi. Le Président de la République du Sénégal rassure que la décision qui consistait à faire disparaître ce poste n'était point une erreur.
« J'ai voulu en 2019, après 7 ans, tester la gouvernance directe. Aujourd'hui, avec le recul et avec mes charges qui vont arriver avec la présidence de l'Union Africaine, que je compte prendre à bras le corps et qui va beaucoup me prendre du temps, je pense qu'il est tout à fait rationnel de penser au retour d'un premier ministre dans ces conditions » a ajouté le prochain président de l'Union Africain qui précise par ailleurs que son retour se fera après les élections locales du 23 janvier 2022. Sur le profil du prochain candidat à la Primature il a indiqué cela « est dans un coin dans sa tête ».
Pour ce qui est de ses gestes envers l'opposition, le chef de l'Etat rappelle ne pas vouloir opter pour la personnalisation des débats. Ce qui reste du moins constant, c'est que les débats sur les deux cas de Khalifa Sall et de Karim Wade restent toujours d’actualité.
Cependant, le président Macky Sall estime ne pas être opposé, dans le cadre d'un dialogue, de trouver des solutions qui respectent le droit et la loi. « Je ne suis pas contre l'esprit, mais trouvons la bonne formule » conclut le président Macky Sall.
« J'ai voulu en 2019, après 7 ans, tester la gouvernance directe. Aujourd'hui, avec le recul et avec mes charges qui vont arriver avec la présidence de l'Union Africaine, que je compte prendre à bras le corps et qui va beaucoup me prendre du temps, je pense qu'il est tout à fait rationnel de penser au retour d'un premier ministre dans ces conditions » a ajouté le prochain président de l'Union Africain qui précise par ailleurs que son retour se fera après les élections locales du 23 janvier 2022. Sur le profil du prochain candidat à la Primature il a indiqué cela « est dans un coin dans sa tête ».
Pour ce qui est de ses gestes envers l'opposition, le chef de l'Etat rappelle ne pas vouloir opter pour la personnalisation des débats. Ce qui reste du moins constant, c'est que les débats sur les deux cas de Khalifa Sall et de Karim Wade restent toujours d’actualité.
Cependant, le président Macky Sall estime ne pas être opposé, dans le cadre d'un dialogue, de trouver des solutions qui respectent le droit et la loi. « Je ne suis pas contre l'esprit, mais trouvons la bonne formule » conclut le président Macky Sall.
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