En marge des veillées spirituelles du mois de Ramadan, le « GRISE » a organisé un panel centré sur un enjeu éducatif majeur : la préscolarisation par le Coran. Porté par des acteurs de l’enseignement arabo-islaique, dont Serigne Mame Mor Mbacké Hamdy et Sokhna Mame Anta Mbacké, ce modèle pédagogique – qui allie apprentissage précoce du Coran et initiation aux bases scolaires – a été présenté comme une « clé de réussite » pour les élèves. Selon les intervenants, les enfants ayant suivi ce dispositif affichent des performances académiques supérieures à celles de leurs camarades.
Face à la presse, l’inspecteur Mamadou Ngom, coordonnateur de la structure organisatrice, a martelé les conclusions des échanges, estimant que les élèves bénéficiaires de cette préscolarisation sont généralement plus disciplinés, ont une meilleure capacité de mémorisation et se distinguent en classe. D’où la nécessité, selon lui, d’inciter l’État à expérimenter ce modèle à grande échelle.
Cette méthode, répandue dans les daaras (écoles coraniques) modernisées, intègre dès le plus jeune âge des activités d’éveil en langues, mathématiques et sciences, tout en ancrant l’apprentissage du Coran et des valeurs morales. « La rigueur spirituelle et intellectuelle forge leur résilience. C’est un atout pour bâtir une génération éclairée », a souligné une enseignante du CEM Gaindé Fatma de Mbacké, institution désignée marraine de l’édition 2025.
La rencontre a réuni plusieurs personnalités, dont l’inspecteur à la retraite Gaston Sangharé et le professeur Assane Ndiaye, premier lauréat du Prix du Chef de l’État récompensant le meilleur enseignant.
Face à la presse, l’inspecteur Mamadou Ngom, coordonnateur de la structure organisatrice, a martelé les conclusions des échanges, estimant que les élèves bénéficiaires de cette préscolarisation sont généralement plus disciplinés, ont une meilleure capacité de mémorisation et se distinguent en classe. D’où la nécessité, selon lui, d’inciter l’État à expérimenter ce modèle à grande échelle.
Cette méthode, répandue dans les daaras (écoles coraniques) modernisées, intègre dès le plus jeune âge des activités d’éveil en langues, mathématiques et sciences, tout en ancrant l’apprentissage du Coran et des valeurs morales. « La rigueur spirituelle et intellectuelle forge leur résilience. C’est un atout pour bâtir une génération éclairée », a souligné une enseignante du CEM Gaindé Fatma de Mbacké, institution désignée marraine de l’édition 2025.
La rencontre a réuni plusieurs personnalités, dont l’inspecteur à la retraite Gaston Sangharé et le professeur Assane Ndiaye, premier lauréat du Prix du Chef de l’État récompensant le meilleur enseignant.
Autres articles
-
DAROU SALAM 2025 - Autorités administratives et religieuses ont abordé les questions liées à l’organisation
-
Opérations-Pré-hivernage/Grand-Yoff chez Zarco : Bour Guéweul salue l'initiative de l’ONAS et alerte sur les inondations récurrentes
-
Joël Almeida allume le feu après la victoire contre l’ASC Ville de Dakar : « C’est la mentalité qui a changé… »
-
Bal 2025 - US Monastir revient en force - Déchiré entre deux drapeaux, Babacar Sane brille
-
Programme d’éducation à Touba : Vers le renforcement des enseignements de Khadimou Rassoul dans les curricula