Abdoul Aziz Sow, membre du directoire de campagne du candidat Abdoulaye Wade des Forces alliées pour la victoire (FAL 2012), a appelé mercredi les militants de cette coalition à ’’apaiser les esprits, pour éviter que ce syndrome de la peur ne perdure’’ dans leur camp.
‘’J’appelle nos amis du camp du président Wade à tout faire pour apaiser les esprits, pour éviter que ce syndrome de la peur ne perdure’’, a dit M. Sow dans un entretien avec le quotidien gouvernemental Le Soleil.
‘’Nous avons des électeurs qui ne voulaient pas aller à des lieux où des risques de grabuge pèseraient sur eux. L’opposition l’a tellement bien compris qu’elle est en train de régénérer cette idée de la peur dans ses derniers discours’’, a-t-il soutenu.
La campagne électorale en perspective du premier tour de l’élection présidentielle du 26 février a été émaillée de violences qui ont fait une dizaine de morts, à Dakar et dans d’autres villes.
L’opposition et des organisations de la société civile protestaient contre la candidature d’Abdoulaye Wade, qu’ils trouvent inconstitutionnelle, le candidat des FAL 2012 étant élu en 2000 et réélu en 2007.
Les candidats Abdoulaye Wade (34,81%) et Macky Sall (26,58%), arrivés premier et deuxième au premier tour, seront départagés le 25 mars par les électeurs.
Tirant les enseignements du premier tour, Abdoul Aziz Sow a souligné que les électeurs du candidat Wade de 2007, qui lui avaient permis cette année-là de gagner les élections au premier tour avec près de 56% des suffrages, sont ‘’restés chez eux’’, le 26 février dernier, en raison des violences électorales.
‘’Nous avons dit de manière claire et non équivoque que nous allons vers le peuple. Discuter et échanger avec ceux-là qui avaient voté pour nous en 2007 et qui, en 2012, sont restés chez eux par peur, nous donnent plus de chance’’, a ajouté l’ancien ministre de l’Information.
‘’J’appelle nos amis du camp du président Wade à tout faire pour apaiser les esprits, pour éviter que ce syndrome de la peur ne perdure’’, a dit M. Sow dans un entretien avec le quotidien gouvernemental Le Soleil.
‘’Nous avons des électeurs qui ne voulaient pas aller à des lieux où des risques de grabuge pèseraient sur eux. L’opposition l’a tellement bien compris qu’elle est en train de régénérer cette idée de la peur dans ses derniers discours’’, a-t-il soutenu.
La campagne électorale en perspective du premier tour de l’élection présidentielle du 26 février a été émaillée de violences qui ont fait une dizaine de morts, à Dakar et dans d’autres villes.
L’opposition et des organisations de la société civile protestaient contre la candidature d’Abdoulaye Wade, qu’ils trouvent inconstitutionnelle, le candidat des FAL 2012 étant élu en 2000 et réélu en 2007.
Les candidats Abdoulaye Wade (34,81%) et Macky Sall (26,58%), arrivés premier et deuxième au premier tour, seront départagés le 25 mars par les électeurs.
Tirant les enseignements du premier tour, Abdoul Aziz Sow a souligné que les électeurs du candidat Wade de 2007, qui lui avaient permis cette année-là de gagner les élections au premier tour avec près de 56% des suffrages, sont ‘’restés chez eux’’, le 26 février dernier, en raison des violences électorales.
‘’Nous avons dit de manière claire et non équivoque que nous allons vers le peuple. Discuter et échanger avec ceux-là qui avaient voté pour nous en 2007 et qui, en 2012, sont restés chez eux par peur, nous donnent plus de chance’’, a ajouté l’ancien ministre de l’Information.
Autres articles
-
Pèlerinage Marial 2024 : Au cap des Biches, les marcheurs se disent prêts!
-
DECOUVERTE : N°1 - L'histoire de la sénégambienne PHILLIS WEAHTLEY, première poète afro-américaine.
-
Avenir de l'Apr- Mbour 4: " On n'acceptera plus de jouer le rôle de suiveur...Je ne suis pas contre la décision du PR Diomaye"( Ousseynou Diouf, Apr Thiès)
-
Développement de l’Artisanat: le COPAS alerte sur les réformes annoncées par le PR Bassirou Diomaye Faye
-
Examens et Concours/Conseil interministériel : "les programmes tels que nous les avons vécus depuis des décennies posent problème", (Ousmane Sonko)