Les filles et la pratique des arts martiaux : une passion ou une nécessité ? (Reportage dans les dojos).


Les filles et la pratique des arts martiaux : une passion ou une nécessité ? (Reportage dans les dojos).
Depuis bien longtemps, les disciples des arts martiaux ont toujours été d‘un grand secours aux personnes surtout s’ils sont en face de situation de rixe. Au Sénégal, il est très difficile de croiser le regard des filles qui s’activent fortement sur cette activité. Dans ce reportage ce sont deux personnes à savoir Ndèye Marie Ndour, pratiquante du Viet Vo Dao, aussi championne du monde en cet art, ainsi que la jeune Yaye Oumy Dièye disciple du Taekwondo, qui sont revenues sur les raisons qui les ont poussées à pratiquer les arts martiaux. Disciples depuis très longtemps, ces dernières nous ont fait comprendre que c’est juste par passion qu’elles ont voulu pratiquer leurs arts. Mais d'autres opportunités se sont ouvertes à elles, même si elles ne s’y s’attendaient pas pour le moins. 

Selon les maîtres des dojos, les arts martiaux ne cherchent pas seulement qu’à assurer la défense des individus. Au-delà de cet aspect, ces derniers s’impliquent aussi dans le développement personnel ainsi qu’à l’éducation des enfants.

Cependant pour ses champions et championnes du monde, le gouvernement sénégalais accorde peu d’importance à leur activité, ainsi disent-ils le football, la lutte et le basket-ball sont plus pris en considération.

Toutefois, ils lancent un appel au ministre de tutelle à bien prendre en compte leur pratique qui a depuis longtemps soulevé des trophées et médailles.
Vendredi 21 Octobre 2022




Dans la même rubrique :