En provenance de Bamako, au Mali, une femme de nationalité indienne a été interpellée lundi 12 août dernier, à l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, en possession d’une arme à feu dans son bagage cabine.
Elle a été jugée ce mercredi 14 août en Seine-Saint-Denis et condamnée à 8 mois de prison avec sursis, à verser 5000 euros d’amende et interdite de port d’arme.
Selon rtl.fr qui donne l’info, la dame qui était accompagnée de ses deux enfants, a dit qu’elle voulait tenir l’arme loin de ces derniers.
Chose qu’elle a réussie à partir de Bamako non sans met à nu la vulnérabilité les contrôles de sécurité de ce pays, pourtant, confronté à des attaques terroristes sur une bonne partie de son territoire. Des errements de cette nature sont souvent exploités par les malfaiteurs pour dérouler leurs plans machiavéliques.
Une enquête devrait être diligentée pour déterminer à quel niveau cette faille a été commise pour ne pas donner l’impression que les protocoles de sécurité sont le dernier souci des pouvoirs publics maliens.
Elle a été jugée ce mercredi 14 août en Seine-Saint-Denis et condamnée à 8 mois de prison avec sursis, à verser 5000 euros d’amende et interdite de port d’arme.
Selon rtl.fr qui donne l’info, la dame qui était accompagnée de ses deux enfants, a dit qu’elle voulait tenir l’arme loin de ces derniers.
Chose qu’elle a réussie à partir de Bamako non sans met à nu la vulnérabilité les contrôles de sécurité de ce pays, pourtant, confronté à des attaques terroristes sur une bonne partie de son territoire. Des errements de cette nature sont souvent exploités par les malfaiteurs pour dérouler leurs plans machiavéliques.
Une enquête devrait être diligentée pour déterminer à quel niveau cette faille a été commise pour ne pas donner l’impression que les protocoles de sécurité sont le dernier souci des pouvoirs publics maliens.
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