La Coalition « Assemblée bi ñubëgg» « réclame » la paternité de la proposition de la société civile présentée au chef de l’Etat par la coalition BBY, devant permettre « à nos concitoyens de voter munis de leur récépissé de dépôt et de leur ancienne carte d’identité ou de tout autre document d’identification. » La Coalition de fustiger qu’une partie de l’opposition, ait rejeté la proposition en question, donnant ainsi raison à tous ceux qui pensent dans l’opinion publique que ces opposants là ont pour seul agenda de ne pas faciliter la tâche au Gouvernement et de vouloir créer un climat insurrectionnel.
Dans leur note envoyée à notre rédaction, la coalition de noter donc que si la seule motivation de l’appel lancé pour une marche le 25 juillet prochain est « d’exiger le retrait » des nouvelles cartes d’électeur biométriques par tous les citoyens en attente, cette marche n’aurait plus de raison d’être dès lors que ceux-ci se seraient vus reconnaître le droit de vote avec leur récépissé, assorti d’une pièce d’identité en bonne et due forme.
Aussi, la Coalition « Assemblée bi ñubëgg » estime-t-elle que, quelle que soit la responsabilité de l’Etat dans les carences et lenteurs constatées dans la production et la mise à disposition des cartes, ainsi que dans la gestion du processus électoral en général, cela ne saurait suffire à justifier une perturbation de ces élections, personne n’ayant à y gagner et surtout pas les citoyens au nom desquels l’on est censé mener le combat pour leur permettre d’exercer leur droit de vote le 30 juillet 2017.
Pour finir, la Coalition « Assemblée bi ñu bëgg », en l’absence d’un audit préalable du nouveau fichier électoral qui s’avérait, certes, indispensable, estime que l’enjeu devrait être, à présent, de lutter contre toute tentative de fraude « en nous organisant pour une surveillance stricte du scrutin, à travers une mutualisation de nos moyens et en faisant preuve d’une vigilance de tous les instants ».
Dans leur note envoyée à notre rédaction, la coalition de noter donc que si la seule motivation de l’appel lancé pour une marche le 25 juillet prochain est « d’exiger le retrait » des nouvelles cartes d’électeur biométriques par tous les citoyens en attente, cette marche n’aurait plus de raison d’être dès lors que ceux-ci se seraient vus reconnaître le droit de vote avec leur récépissé, assorti d’une pièce d’identité en bonne et due forme.
Aussi, la Coalition « Assemblée bi ñubëgg » estime-t-elle que, quelle que soit la responsabilité de l’Etat dans les carences et lenteurs constatées dans la production et la mise à disposition des cartes, ainsi que dans la gestion du processus électoral en général, cela ne saurait suffire à justifier une perturbation de ces élections, personne n’ayant à y gagner et surtout pas les citoyens au nom desquels l’on est censé mener le combat pour leur permettre d’exercer leur droit de vote le 30 juillet 2017.
Pour finir, la Coalition « Assemblée bi ñu bëgg », en l’absence d’un audit préalable du nouveau fichier électoral qui s’avérait, certes, indispensable, estime que l’enjeu devrait être, à présent, de lutter contre toute tentative de fraude « en nous organisant pour une surveillance stricte du scrutin, à travers une mutualisation de nos moyens et en faisant preuve d’une vigilance de tous les instants ».
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