Rien ne va plus au siège de l’Association des écrivains du Sénégal (AES) que dirige l’écrivain-dramaturge Alioune Badara Bèye. En effet, plusieurs membres de l’association, ont décidé de claquer la porte, pour manifester leur exaspération devant « l’immobilisme » dans lequel, selon eux, elle est plongée. La liste des signataires (alliances), s’agrandit et c’est là une bien mauvaise nouvelle pour les partisans du statu quo. Le temps apporte la banalisation des évènements, et poursuit son œuvre.
Le front a été rouvert par une autre légende de la littérature, Marouba Fall, qui a annoncé sa démission, prenant de court le monde littéraire domestique. L’ancien proviseur du lycée de Léopold Sédar Senghor de Joal- Fadiouth, comme dans ses 13 œuvres, a le souci de la vérité et l’a fait savoir. « On ne m’associe à rien », donc bye-bye...
D’autres sources de « EnQuête » avancent que ce sont les privilèges liés à la fonction qui font durer, jusqu’à s’ankyloser, des élus et (ré) élus. Mais que peut-on contre la volonté des votants. Les sénégalais sont réputés tolérants, mais ne savent pas négocier pour se tirer d’un bourbier où les postulants sont souvent à fleur d’égo. Dans un message posté hier sur sa page Facebook, Marouba Fall dénonce une gestion « par trop personnelle de l’association : puisqu’il n 'y a pas une réunion à laquelle je suis convié, de manifestation à laquelle je suis associé, ni d’assemblée générale de renouvellement du bureau, je présente ma démission bonne chance ! » Pour un écrivain, on ne pouvait être plus clair.
Le front a été rouvert par une autre légende de la littérature, Marouba Fall, qui a annoncé sa démission, prenant de court le monde littéraire domestique. L’ancien proviseur du lycée de Léopold Sédar Senghor de Joal- Fadiouth, comme dans ses 13 œuvres, a le souci de la vérité et l’a fait savoir. « On ne m’associe à rien », donc bye-bye...
D’autres sources de « EnQuête » avancent que ce sont les privilèges liés à la fonction qui font durer, jusqu’à s’ankyloser, des élus et (ré) élus. Mais que peut-on contre la volonté des votants. Les sénégalais sont réputés tolérants, mais ne savent pas négocier pour se tirer d’un bourbier où les postulants sont souvent à fleur d’égo. Dans un message posté hier sur sa page Facebook, Marouba Fall dénonce une gestion « par trop personnelle de l’association : puisqu’il n 'y a pas une réunion à laquelle je suis convié, de manifestation à laquelle je suis associé, ni d’assemblée générale de renouvellement du bureau, je présente ma démission bonne chance ! » Pour un écrivain, on ne pouvait être plus clair.
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