Des morts qui gisent par terre... des émeutes tous azimuts... grogne généralisée d'une opposition décidée à en découdre avec le pouvoir... voilà campé le décor qui prévaut actuellement en Guinée.
Et face à un Alpha Condé résolument décidé à réprimer les manifestations de l'opposition, il y a désormais un Cellou Dalein Diallo visiblement déterminé à aller jusqu'au bout de son combat. Le chef de l'opposition est en effet passé à la vitesse supérieure, décidé à exercer son droit de manifester dûment consacré par la Constitution. Il gronde et promet de ne faire aucune concession pour ce qui est du respect de l'accord politique qui a précédé les élections municipales et locales. Un accord qui a été notamment violé à Kindia.
Pendant que le reste de l'Afrique et notamment les pays de la sous-région se murent dans un silence, tout comme d'ailleurs la CPI , les Droits de l'hommistes et la '' fameuse '' Communauté Internationale, la Guinée file droit vers le chaos qui pourrait déboucher sur un génocide. En effet, au-delà de l'enjeu du pouvoir politique, il y a la rivalité entre Malinkés bien armés car assis sur l'institution militaire et Peulhs non armés représentant l'essentiel de l'opposition. Et au rythme où vont les choses, la vie de Cellou Dalein Diallo est sérieusement menacée. Dailleurs, une source de Dakaractu est claire à ce propos : '' si par malheur, l'irréparable se produisait, le pays risquerait de basculer dans une violence généralisée. ''
Déjà, constate-t-on, la spirale manifestations-répressions a fini de faire beaucoup de victimes des deux côtés, mais surtout celui de l'opposition, comme en témoignent les photos publiées par Dakaractu dans l'une de ses précédentes publications ( l'exemple d'un policier gisant par terre et des Peulhs violemment tués) .
QUE RISQUE LE SÉNÉGAL ?
'' Victime '' de sa proximité géographique avec la Guinée, le Sénégal n'est désormais point à l'abri d'une déstabilisation démographique. En effet, avec l'imminence d'un conflit ouvert du fait qu'il y a désormais une fracture ethnique absolument béante, l'on devrait se préparer à l'éventualité de recevoir entre 3,4 et 5 millions de réfugiés Guinéens. Ainsi, malgré le devoir de non-ingérence dans les affaires d'un État souverain, des solutions devraient être imaginées pour que la Guinée puisse recouvrer la paix et la sérénité.
Situation à suivre de près...
Et face à un Alpha Condé résolument décidé à réprimer les manifestations de l'opposition, il y a désormais un Cellou Dalein Diallo visiblement déterminé à aller jusqu'au bout de son combat. Le chef de l'opposition est en effet passé à la vitesse supérieure, décidé à exercer son droit de manifester dûment consacré par la Constitution. Il gronde et promet de ne faire aucune concession pour ce qui est du respect de l'accord politique qui a précédé les élections municipales et locales. Un accord qui a été notamment violé à Kindia.
Pendant que le reste de l'Afrique et notamment les pays de la sous-région se murent dans un silence, tout comme d'ailleurs la CPI , les Droits de l'hommistes et la '' fameuse '' Communauté Internationale, la Guinée file droit vers le chaos qui pourrait déboucher sur un génocide. En effet, au-delà de l'enjeu du pouvoir politique, il y a la rivalité entre Malinkés bien armés car assis sur l'institution militaire et Peulhs non armés représentant l'essentiel de l'opposition. Et au rythme où vont les choses, la vie de Cellou Dalein Diallo est sérieusement menacée. Dailleurs, une source de Dakaractu est claire à ce propos : '' si par malheur, l'irréparable se produisait, le pays risquerait de basculer dans une violence généralisée. ''
Déjà, constate-t-on, la spirale manifestations-répressions a fini de faire beaucoup de victimes des deux côtés, mais surtout celui de l'opposition, comme en témoignent les photos publiées par Dakaractu dans l'une de ses précédentes publications ( l'exemple d'un policier gisant par terre et des Peulhs violemment tués) .
QUE RISQUE LE SÉNÉGAL ?
'' Victime '' de sa proximité géographique avec la Guinée, le Sénégal n'est désormais point à l'abri d'une déstabilisation démographique. En effet, avec l'imminence d'un conflit ouvert du fait qu'il y a désormais une fracture ethnique absolument béante, l'on devrait se préparer à l'éventualité de recevoir entre 3,4 et 5 millions de réfugiés Guinéens. Ainsi, malgré le devoir de non-ingérence dans les affaires d'un État souverain, des solutions devraient être imaginées pour que la Guinée puisse recouvrer la paix et la sérénité.
Situation à suivre de près...
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