![Kaolack / Zoom sur la prostitution : Omicron malmène le plus vieux métier du monde... Les étrangères se frottent les mains... Les prostituées déplorent la tracasserie policière. Kaolack / Zoom sur la prostitution : Omicron malmène le plus vieux métier du monde... Les étrangères se frottent les mains... Les prostituées déplorent la tracasserie policière.](https://www.dakaractu.com/photo/art/default/61171367-44643439.jpg?v=1640186220)
En cette période de Covid, les prostituées sénégalaises établies à Kaolack tirent le diable par la queue.
Un tour au niveau de certains réceptifs, nous a permis d'avoir une idée sur la situation précaire dans laquelle vivent celles qui ont choisi ce métier considéré comme étant le plus vieux du monde.
Ici, les clients se font de plus en plus rares. Et ceux qui continuent à fréquenter ces lieux ne sont plus capables de satisfaire les exigences des prostituées en matière de rétribution. Du coup, certaines d'entre elles ont revu à la baisse leur service en passant de 15.000 à 10.000 Fcfa et de 10.000 à 5.000 Fcfa.
"De nos jours, les choses ont véritablement changé. Il m'arrivait de rentrer chez moi après une nuit bien remplie avec la somme de 50.000 Fcfa, mais depuis que la covid est arrivée, rien n'est plus comme avant. Mais la situation est devenue plus critique pour les prostituées âgées, car il y' en a qui rentrent chez elles les mains vides...", a lancé une interlocutrice.
Au centre-ville de Kaolack, elles squattent les grandes artères à la recherche d'un client tout en évitant de croiser le véhicule de la police. Dans cette ville, les jeunes prostituées sont les plus prisées. C'est pourquoi, 70% d'entre elles sont des jeunes filles d'à peine 25 ans qui fréquentent les débits de boisson et les boîtes de nuit. Dans la liste des jeunes filles, il y a également celles qui évoluent dans la clandestinité et qui choisissent souvent la journée pour prendre d'assaut les réceptifs à bord de motos jakarta.
S'agissant des étrangères, le service est moins coûteux. Elles ont fini par arrimer leur offre à la somme de 5. 000 Fcfa. "C'est une concurrence déloyale. À cause de ça, nos fidèles clients commencent à jeter leur dévolu sur elles. Et en plus, la police nous mène la vie dure. Nous pensons très souvent la nuit au commissariat central ou au commissariat d'arrondissement de Ndorong à cause des rafles tous azimuts. Les limiers doivent desserrer l'étau pour nous permettre de travailler correctement", a pesté une autre fille à l'allure provocante.
À noter que Kaolack fait partie des villes du Sénégal qui enregistrent de plus en plus l'arrivée de prostituées étrangères. Certaines d'entre elles viennent du Gabon, du Bénin, du Nigéria, entre autres...
Un tour au niveau de certains réceptifs, nous a permis d'avoir une idée sur la situation précaire dans laquelle vivent celles qui ont choisi ce métier considéré comme étant le plus vieux du monde.
Ici, les clients se font de plus en plus rares. Et ceux qui continuent à fréquenter ces lieux ne sont plus capables de satisfaire les exigences des prostituées en matière de rétribution. Du coup, certaines d'entre elles ont revu à la baisse leur service en passant de 15.000 à 10.000 Fcfa et de 10.000 à 5.000 Fcfa.
"De nos jours, les choses ont véritablement changé. Il m'arrivait de rentrer chez moi après une nuit bien remplie avec la somme de 50.000 Fcfa, mais depuis que la covid est arrivée, rien n'est plus comme avant. Mais la situation est devenue plus critique pour les prostituées âgées, car il y' en a qui rentrent chez elles les mains vides...", a lancé une interlocutrice.
Au centre-ville de Kaolack, elles squattent les grandes artères à la recherche d'un client tout en évitant de croiser le véhicule de la police. Dans cette ville, les jeunes prostituées sont les plus prisées. C'est pourquoi, 70% d'entre elles sont des jeunes filles d'à peine 25 ans qui fréquentent les débits de boisson et les boîtes de nuit. Dans la liste des jeunes filles, il y a également celles qui évoluent dans la clandestinité et qui choisissent souvent la journée pour prendre d'assaut les réceptifs à bord de motos jakarta.
S'agissant des étrangères, le service est moins coûteux. Elles ont fini par arrimer leur offre à la somme de 5. 000 Fcfa. "C'est une concurrence déloyale. À cause de ça, nos fidèles clients commencent à jeter leur dévolu sur elles. Et en plus, la police nous mène la vie dure. Nous pensons très souvent la nuit au commissariat central ou au commissariat d'arrondissement de Ndorong à cause des rafles tous azimuts. Les limiers doivent desserrer l'étau pour nous permettre de travailler correctement", a pesté une autre fille à l'allure provocante.
À noter que Kaolack fait partie des villes du Sénégal qui enregistrent de plus en plus l'arrivée de prostituées étrangères. Certaines d'entre elles viennent du Gabon, du Bénin, du Nigéria, entre autres...
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