Le journaliste du bureau de Dakaractu a été violenté à la mairie de Kaolack ce matin à l’occasion de la session extraordinaire du vote du budget de la municipalité. Mais pourquoi priver un journaliste, dans l’exercice de ses fonctions et de surcroît dans sa mission de service publique en relayant l’information juste et vraie, de faire correctement son travail ? La question est bien destinée à ceux qui se sont attaqués violemment à Moussa Fall, chef du bureau régional de Kaolack pour Dakaractu. Voulant accéder à la salle comme les autres confrères, le journaliste de Dakaractu s’est vu refuser l’accès. Pour quelles raisons? Ses détracteurs seront probablement les seuls à répondre.
Moussa Fall a été prié de quitter la salle, mais devant le refus de celui-ci qui a bien le droit de faire son travail, la force des muscles a finalement pris le dessus sur la responsabilité et l’humanisme. Les gros bras du maire Serigne Mboup ont violenté le reporter avant de l’extraire de la salle avec ses blessures.
Moussa Fall a été prié de quitter la salle, mais devant le refus de celui-ci qui a bien le droit de faire son travail, la force des muscles a finalement pris le dessus sur la responsabilité et l’humanisme. Les gros bras du maire Serigne Mboup ont violenté le reporter avant de l’extraire de la salle avec ses blessures.
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