À quelques jours de l’Eid El Fitr, communément appelé fête de Korité, c'est l’effervescence dans les marchés de tissu. Après un tour au marché HLM, réputé pour ses articles et accessoires divers, le constat est le même dans les boutiques de tissu qui sont très convoitées par des femmes qui comptent ne ménager aucun effort pour accueillir cette fête sous leurs meilleurs atours.
Au menu, les boubous « Lafaya » (tissu en coton très riche), des « Pirkhers » (tissu en coton épousant des finitions brodées), des Bazins etc…, dont les prix varient entre 3.500f et 250.000f Cfa.
Au grand plaisir des commerçants, la vente est bonne. C’est du moins ce qu’ont témoigné certains d'entre eux qui se frottent déjà les mains.
Cependant, ce n’est nullement l’avis des tailleurs. Ces derniers contrairement aux vendeurs de tissu, n’y trouvent toujours pas leur compte. À la tâche, assis devant leurs machines à coudre, la plupart de ces jeunes tailleurs déplorent l’absence de clientèle cette année encore qui est pire que l’année dernière. Et comme si cela ne suffisait pas, le marché chinois de broderie a fini de les submerger.
En effet, d’après certains tailleurs, les chinois sont en train d'inonder le secteur en important des broderies prêt à porter, bon marché et surtout de qualité médiocre. Ce qui pénalise les spécialistes en broderie du secteur. Compte tenu de l’envahissement de ces étrangers, ils interpellent les autorités compétentes afin qu’ils y mettent fin pour ainsi aider les jeunes tailleurs locaux à mieux développer leur business.
Toutefois, une innovation est aussi notée. Pour certains, cette époque où les clients occupaient les ateliers pour réclamer leurs boubous est révolue. Mme Guèye une des couturières interpellées, procède autrement. En effet, elle confectionne des tenues prêt à porter pour les amener chez elle ainsi, elle les porte une à une pour montrer les modèles en vidéo et les exposer sur les réseaux sociaux afin de les vendre sans tambour ni trompette...
Au menu, les boubous « Lafaya » (tissu en coton très riche), des « Pirkhers » (tissu en coton épousant des finitions brodées), des Bazins etc…, dont les prix varient entre 3.500f et 250.000f Cfa.
Au grand plaisir des commerçants, la vente est bonne. C’est du moins ce qu’ont témoigné certains d'entre eux qui se frottent déjà les mains.
Cependant, ce n’est nullement l’avis des tailleurs. Ces derniers contrairement aux vendeurs de tissu, n’y trouvent toujours pas leur compte. À la tâche, assis devant leurs machines à coudre, la plupart de ces jeunes tailleurs déplorent l’absence de clientèle cette année encore qui est pire que l’année dernière. Et comme si cela ne suffisait pas, le marché chinois de broderie a fini de les submerger.
En effet, d’après certains tailleurs, les chinois sont en train d'inonder le secteur en important des broderies prêt à porter, bon marché et surtout de qualité médiocre. Ce qui pénalise les spécialistes en broderie du secteur. Compte tenu de l’envahissement de ces étrangers, ils interpellent les autorités compétentes afin qu’ils y mettent fin pour ainsi aider les jeunes tailleurs locaux à mieux développer leur business.
Toutefois, une innovation est aussi notée. Pour certains, cette époque où les clients occupaient les ateliers pour réclamer leurs boubous est révolue. Mme Guèye une des couturières interpellées, procède autrement. En effet, elle confectionne des tenues prêt à porter pour les amener chez elle ainsi, elle les porte une à une pour montrer les modèles en vidéo et les exposer sur les réseaux sociaux afin de les vendre sans tambour ni trompette...
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