« La montée de la courbe des cas de contamination au coronavirus notés ces derniers jours serait due à un relâchement global des mesures barrières. Ce qui fait qu'on craint une deuxième vague de contamination, mais il faut dire que ceci n'est pas encore attesté scientifiquement », a fait savoir le directeur exécutif de la Coalition des organisations en synergie pour la défense de l'éducation publique (Cosydep), Cheikh Mbow.
Selon lui, « il faudrait, face à cette situation où beaucoup de cas communautaires sont signalés, qu'on ait des réponses communautaires. Puisque la pandémie ne nous a pas quittés, ça doit être une alerte pour nous permettre de retourner aux habitudes premières quand la covid s'était annoncée. »
Interrogé sur la possibilité d'une suspension à nouveau des cours, le directeur exécutif de préciser : « il n'y a pas de base scientifique qui permet pour le moment d'incriminer la reprise des cours. Si toutefois l'éventualité d'une seconde vague se présentait, la décision de fermer à nouveau les salles de classe ou non doit relever de l'autorité étatique sous le conseil des autorités scientifiques et médicales. »
Il ajoute : « aujourd'hui, l'application du protocole sanitaire fait défaut dans les écoles. Il faudrait que le gouvernement craigne que l'école puisse être une source de propagation et qu'il puisse prendre des dispositions pour l'application de ce protocole. »
Selon Cheikh Mbow, une évaluation allant dans ce sens a été faite. À cet effet, il estime qu'avec «moins d'un milliard on peut veiller à ce que l'approvisionnement en matériel préventif et en eau soit une réalité dans chaque école et qu'aussi les toilettes soient fonctionnelles. L'école peut être une solution face à cette montée des cas communautaires. Les élèves s'ils sont bien encadrés, bien sensibilisés peuvent être des acteurs de plaidoyer et vecteur de sensibilisation... »
Selon lui, « il faudrait, face à cette situation où beaucoup de cas communautaires sont signalés, qu'on ait des réponses communautaires. Puisque la pandémie ne nous a pas quittés, ça doit être une alerte pour nous permettre de retourner aux habitudes premières quand la covid s'était annoncée. »
Interrogé sur la possibilité d'une suspension à nouveau des cours, le directeur exécutif de préciser : « il n'y a pas de base scientifique qui permet pour le moment d'incriminer la reprise des cours. Si toutefois l'éventualité d'une seconde vague se présentait, la décision de fermer à nouveau les salles de classe ou non doit relever de l'autorité étatique sous le conseil des autorités scientifiques et médicales. »
Il ajoute : « aujourd'hui, l'application du protocole sanitaire fait défaut dans les écoles. Il faudrait que le gouvernement craigne que l'école puisse être une source de propagation et qu'il puisse prendre des dispositions pour l'application de ce protocole. »
Selon Cheikh Mbow, une évaluation allant dans ce sens a été faite. À cet effet, il estime qu'avec «moins d'un milliard on peut veiller à ce que l'approvisionnement en matériel préventif et en eau soit une réalité dans chaque école et qu'aussi les toilettes soient fonctionnelles. L'école peut être une solution face à cette montée des cas communautaires. Les élèves s'ils sont bien encadrés, bien sensibilisés peuvent être des acteurs de plaidoyer et vecteur de sensibilisation... »
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