La Fédération nigériane de football a expliqué par le canal de son site officiel, que ce mercredi, un certain nombre de facteurs, notamment l'impossibilité d'obtenir des visas de transit pour les joueuses et les officiels de l'équipe nationale féminine U20, « Falconets », à l'aéroport d'Istanbul, ont obligé l'équipe à rester 24 heures en Turquie suite à leur élimination de la Coupe du monde féminine U20.
En guise d’explication, la Nigerian Football Fédération (NFF) de préciser que : « la NFF n'a pas réservé les billets de l'équipe du Costa Rica ; La FIFA l'a fait. La FIFA n'a pas non plus envisagé les accrocs qui ont vu l'équipe retardée de plus de trois heures à Bogota et d'une autre heure au Panama. Au moment où l'équipe est arrivée à Istanbul, le vol pour Abuja était parti. » Une situation qui a expliqué le fait que les joueuses ont dormi à même le sol de l’aéroport, dans une sorte de zone de couchage.
Face à cette regrettable situation, les autorités nigérianes ont dégagées toutes responsabilités au motif que dans un premier temps : "Nos officiels ont plaidé pour des visas de transit humanitaires afin d'emmener les joueurs et les officiels dans un hôtel à l'intérieur de la ville, mais cela n'a pas été possible car ils ont été informés que le Nigeria avait été retiré de la liste des pays dont les citoyens avaient reçu un visa sur- arrivée en Turquie."
Néanmoins, ils informent que "La compagnie aérienne a ensuite emmené l'équipe dans une zone de couchage à l'aéroport et leur a donné des billets pour prendre des repas toutes les cinq heures. Cette situation n'a rien à voir avec la NFF, qui avait pris des dispositions pour recevoir l'équipe à Abuja avant les complications dans les préparatifs de voyage », a expliqué le secrétaire général de la fédération nigériane, le Dr Mohammed Sanusi.
En guise d’explication, la Nigerian Football Fédération (NFF) de préciser que : « la NFF n'a pas réservé les billets de l'équipe du Costa Rica ; La FIFA l'a fait. La FIFA n'a pas non plus envisagé les accrocs qui ont vu l'équipe retardée de plus de trois heures à Bogota et d'une autre heure au Panama. Au moment où l'équipe est arrivée à Istanbul, le vol pour Abuja était parti. » Une situation qui a expliqué le fait que les joueuses ont dormi à même le sol de l’aéroport, dans une sorte de zone de couchage.
Face à cette regrettable situation, les autorités nigérianes ont dégagées toutes responsabilités au motif que dans un premier temps : "Nos officiels ont plaidé pour des visas de transit humanitaires afin d'emmener les joueurs et les officiels dans un hôtel à l'intérieur de la ville, mais cela n'a pas été possible car ils ont été informés que le Nigeria avait été retiré de la liste des pays dont les citoyens avaient reçu un visa sur- arrivée en Turquie."
Néanmoins, ils informent que "La compagnie aérienne a ensuite emmené l'équipe dans une zone de couchage à l'aéroport et leur a donné des billets pour prendre des repas toutes les cinq heures. Cette situation n'a rien à voir avec la NFF, qui avait pris des dispositions pour recevoir l'équipe à Abuja avant les complications dans les préparatifs de voyage », a expliqué le secrétaire général de la fédération nigériane, le Dr Mohammed Sanusi.
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