La Covid-19 et la guerre en Ukraine, sont deux facteurs qui causent et qui vont causer pour longtemps une inflation dans plusieurs pays au monde, principalement en Afrique, où certains craignent une famine.
En réponse à cette crise qui s'est presque installée, se manifeste une hausse de 27, 77% sur le prix du blé entre 2020/2021. Le maïs a augmenté de plus de 53%, l'huile de soja, de plus de 65%.
Face à cette crise, les pays africains adoptent des postures différentes. Si certains, comme le Sénégal, accompagnent leurs communautés à faire face, d'autres, comme le Cameroun, demandent à leurs populations « de serrer la ceinture ».
En effet, le ministre camerounais du commerce, M. Luc M.M. Atangana, dans une tribune à la presse, a recommandé à ses concitoyens, « de se serrer la ceinture, ... à se réadapter et d'adopter l'économie solidaire. Le contexte nous impose de revoir notre manière de vivre », a-t-il suggéré. Contrairement au Cameroun, au Sénégal l'État a préféré procéder à une baisse des prix de première nécessité et a aussi augmenté la subvention du riz local pour aider les ménages. Mais pour parer à toute éventualité, le chef de l'État, Macky Sall, dans son discours à la nation tenu le 03 Avril dernier, a invité les Sénégalais à consommer ce qu'ils produisent et à produire ce qu'ils consomment. Pour ce faire, le budget alloué à l'agriculture est passé de 60 à 70 milliards.
En réponse à cette crise qui s'est presque installée, se manifeste une hausse de 27, 77% sur le prix du blé entre 2020/2021. Le maïs a augmenté de plus de 53%, l'huile de soja, de plus de 65%.
Face à cette crise, les pays africains adoptent des postures différentes. Si certains, comme le Sénégal, accompagnent leurs communautés à faire face, d'autres, comme le Cameroun, demandent à leurs populations « de serrer la ceinture ».
En effet, le ministre camerounais du commerce, M. Luc M.M. Atangana, dans une tribune à la presse, a recommandé à ses concitoyens, « de se serrer la ceinture, ... à se réadapter et d'adopter l'économie solidaire. Le contexte nous impose de revoir notre manière de vivre », a-t-il suggéré. Contrairement au Cameroun, au Sénégal l'État a préféré procéder à une baisse des prix de première nécessité et a aussi augmenté la subvention du riz local pour aider les ménages. Mais pour parer à toute éventualité, le chef de l'État, Macky Sall, dans son discours à la nation tenu le 03 Avril dernier, a invité les Sénégalais à consommer ce qu'ils produisent et à produire ce qu'ils consomment. Pour ce faire, le budget alloué à l'agriculture est passé de 60 à 70 milliards.
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