Une fuite de gaz sur le site de Grand Tortue Ahmeyim (GTA) au large du Sénégal et de la Mauritanie a été stoppée, a annoncé jeudi à l'AFP l'opérateur britannique BP, trois semaines après avoir été découverte.
"Le mercredi 12 mars 2025, un dispositif d'étanchéité a été installé et nous avons constaté visuellement que l'écoulement de bulles s'est arrêté", affirme BP dans un communiqué.
L'exploitation du champ gazier de GTA, débutée le 31 décembre, est opérée par BP, avec l'américain Kosmos Energy, la Société du pétrole du Sénégal (Petrosen) et la Société mauritanienne des hydrocarbures (SMH).
Cette fuite découverte sur l'un des quatre puits du site offshore le 19 février a suscité "l'inquiétude" et "l'indignation" d'ONG comme Greenpeace.
La semaine dernière, Greenpeace a demandé à BP de "publier immédiatement des données indépendantes sur l'ampleur réelle de cette fuite et les mesures mises en place pour y remédier".
Une association de pêcheurs artisanaux de la ville de Saint-Louis, ville côtière du nord du Sénégal proche du site gazier, s'était inquiétée de "la menace d'une pollution sournoise dont les impacts pourraient être irréversibles".
"Compte tenu de la faiblesse du débit et des propriétés du gaz et des condensats, l'impact sur l'environnement devrait être négligeable", a affirmé BP.
"Des tests supplémentaires, de la surveillance et des inspections visuelles continueront un certain temps pour s'assurer qu'il n'y ait pas d'autres fuites", a assuré le géant des hydrocarbures.
Les trois autres puits du site ont pu continuer leurs activités de production pendant les réparations, selon BP.
La production annoncée du projet GTA est d'environ 2,5 millions de tonnes de gaz naturel liquéfié par an.
Repoussée à plusieurs reprises, l'exploitation du site était très attendue au Sénégal et en Mauritanie et devrait permettre à ces pays pauvres de l'Afrique de l'Ouest de transformer leur économie.
"Le mercredi 12 mars 2025, un dispositif d'étanchéité a été installé et nous avons constaté visuellement que l'écoulement de bulles s'est arrêté", affirme BP dans un communiqué.
L'exploitation du champ gazier de GTA, débutée le 31 décembre, est opérée par BP, avec l'américain Kosmos Energy, la Société du pétrole du Sénégal (Petrosen) et la Société mauritanienne des hydrocarbures (SMH).
Cette fuite découverte sur l'un des quatre puits du site offshore le 19 février a suscité "l'inquiétude" et "l'indignation" d'ONG comme Greenpeace.
La semaine dernière, Greenpeace a demandé à BP de "publier immédiatement des données indépendantes sur l'ampleur réelle de cette fuite et les mesures mises en place pour y remédier".
Une association de pêcheurs artisanaux de la ville de Saint-Louis, ville côtière du nord du Sénégal proche du site gazier, s'était inquiétée de "la menace d'une pollution sournoise dont les impacts pourraient être irréversibles".
"Compte tenu de la faiblesse du débit et des propriétés du gaz et des condensats, l'impact sur l'environnement devrait être négligeable", a affirmé BP.
"Des tests supplémentaires, de la surveillance et des inspections visuelles continueront un certain temps pour s'assurer qu'il n'y ait pas d'autres fuites", a assuré le géant des hydrocarbures.
Les trois autres puits du site ont pu continuer leurs activités de production pendant les réparations, selon BP.
La production annoncée du projet GTA est d'environ 2,5 millions de tonnes de gaz naturel liquéfié par an.
Repoussée à plusieurs reprises, l'exploitation du site était très attendue au Sénégal et en Mauritanie et devrait permettre à ces pays pauvres de l'Afrique de l'Ouest de transformer leur économie.
Autres articles
-
Guinée: report du procès en appel d'un opposant pour offense au chef de la junte
-
Commentaires sur la loi d’amnistie 2024 / Piques de Seydi Gassama contre les colonels et commissaires à la retraite : Les colonels Adama Diop et Soukoun Faty répliquent
-
Niger: le chef du régime militaire proclamé président de la république
-
Football : la Côte d’Ivoire renonce à organiser la CAN U20 à quelques semaines du coup d’envoi
-
Secteur minier – Fonds d'appui et de péréquation et fonds d'appui au développement local : "Les élus locaux doivent se mobiliser pour récupérer cette manne financière" (Demba Seydi, CAJUST)