La Ligue Sénégalaise des Droits Humains vient d’être alertée par certaines cliniques privées qui sont actuellement en rupture d’oxygène. Par conséquent, « elles informent ne plus être en mesure de recevoir de malades de Covid-19 malgré cette forte poussée épidémique. »
« Ce sont des structures sanitaires qui refusent d’être des mouroirs car sans oxygène, les malades atteints du covid n'ont aucune chance de survie », informe la LSDH. En effet, ces structures sanitaires privées estiment que les sociétés de la place telles que Sahel Gaz et Air liquide leur disent qu’elles sont réquisitionnées et ne peuvent plus, par conséquent, honorer leurs commandes.
Au même moment, les mesures de gratuité de l’oxygène annoncées par l’État du Sénégal ne sont pas encore effectives. « Elles sont aujourd'hui dans le désarroi le plus total face à la prolifération des décès du fait de manque d oxygène », prévient la Ligue.
« Ce sont des structures sanitaires qui refusent d’être des mouroirs car sans oxygène, les malades atteints du covid n'ont aucune chance de survie », informe la LSDH. En effet, ces structures sanitaires privées estiment que les sociétés de la place telles que Sahel Gaz et Air liquide leur disent qu’elles sont réquisitionnées et ne peuvent plus, par conséquent, honorer leurs commandes.
Au même moment, les mesures de gratuité de l’oxygène annoncées par l’État du Sénégal ne sont pas encore effectives. « Elles sont aujourd'hui dans le désarroi le plus total face à la prolifération des décès du fait de manque d oxygène », prévient la Ligue.
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