
Dans une analyse publiée hier, l’agence internationale de notation financière, qui a procédé à cette révision, souligne que la participation du pays à l'Initiative de suspension du service de la dette du G20 (DSSI) augmente le risque que les créanciers du secteur privé subissent un défaut de paiement.
« La suspension des obligations du service de la dette vis-à-vis des créanciers officiels seuls ne devrait pas avoir d'incidence sur la notation », lit-on dans la dernière édition de Confidentiel La Lettre Quotidienne.
Mais au-delà des interprétations des uns et des autres, on note que l’agence de notation tient compte de « la situation budgétaire du Sénégal ». Notre pays, estime Moody’s, est « sous pression » en raison du choc mondial du coronavirus.
« Cependant, l'appel du G20 aux créanciers du secteur privé à participer à cette initiative à des conditions comparables, augmente le risque de défaut sur la dette privée, selon la définition de Moody’s », renseigne-t-on.
Et le gouvernement s’est engagé « à respecter toutes ses obligations contractuelles vis-à-vis des créanciers du secteur privé ». Il n'aurait pas l'intention de leur étendre à l’allégement de la dette. « Sauf que selon Moody’s cela contraste avec l'appel lancé par le secteur public aux créanciers commerciaux pour qu'ils contribuent à l'allégement du service de la dette », a écrit Confidentiel La Lettre Quotidienne.
« La suspension des obligations du service de la dette vis-à-vis des créanciers officiels seuls ne devrait pas avoir d'incidence sur la notation », lit-on dans la dernière édition de Confidentiel La Lettre Quotidienne.
Mais au-delà des interprétations des uns et des autres, on note que l’agence de notation tient compte de « la situation budgétaire du Sénégal ». Notre pays, estime Moody’s, est « sous pression » en raison du choc mondial du coronavirus.
« Cependant, l'appel du G20 aux créanciers du secteur privé à participer à cette initiative à des conditions comparables, augmente le risque de défaut sur la dette privée, selon la définition de Moody’s », renseigne-t-on.
Et le gouvernement s’est engagé « à respecter toutes ses obligations contractuelles vis-à-vis des créanciers du secteur privé ». Il n'aurait pas l'intention de leur étendre à l’allégement de la dette. « Sauf que selon Moody’s cela contraste avec l'appel lancé par le secteur public aux créanciers commerciaux pour qu'ils contribuent à l'allégement du service de la dette », a écrit Confidentiel La Lettre Quotidienne.
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