Le leader du parti Awalé, Dr Abdourahmane Diouf a laissé une information de taille sur l’authentification de sa formation politique qui peine depuis un an à entrer en possession de son récépissé. Invité du Grand entretien de la chaîne Al Asfiyâ, il a révélé sur le plateau que le ministre de l’intérieur refuse à son parti le sésame.
« Chacun à son problème. Dans sa démarche de dissolution du Pastef, c’est dans cette dynamique qu’il (Antoine F. A. Diome NDLR) nous a refusé à nous Awalé d’avoir un récépissé sans aucune base légale. Nous sommes des citoyens sénégalais, nous avons emprunté toutes les voies légales pour être un parti reconnu», a expliqué le candidat déclaré à la présidentielle de 2024 après avoir fait un commentaire sur ce qu’il qualifie d’injustice à l’encontre de Ousmane Sonko et de son parti dissous. Pour étayer ses propos, l’ancien compagnon d’Idrissa Seck de préciser sur des correspondances adressées à l’autorité.
« Nous lui avons adressé deux correspondances et il nous a répondu. Dans sa première réponse, il nous a fait savoir que les ‘’Jambars’’ que nous avons utilisé en complément du nom de notre parti Awalé-les Jambars est une appellation propre aux soldats et qu’il ne fallait pas l’utiliser. Pour éviter des histoires, nous avons jugé nécessaire de l’enlever. Dans sa deuxième réponse, il nous a interpellé sur un point de nos statuts qui dit qu’un ressortissant à l’étranger peut cotiser pour la bonne marche du parti ce qu’il a qualifié d’illégal au Sénégal même si nous ne partageons pas la même posture sur cela. La loi n’interdit pas à un citoyen résidant à l’étranger de participer à la vie de son parti politique basé au Sénégal mais toujours pour ne pas créer d’histoires nous lui avons souligné que nous enlèverons cette phrase des statuts. », a confié Dr Diouf. Pour l’opposant, ces discussions avec l’autorité datent d’au moins d’un an. Dr Abdourahmane Diouf a également laissé entendre que toutes les démarches nécessaires à l’obtention du récépissé ont été effectuées mais que le document tarde toujours à leur être restitué ce qui selon lui, cause énormément de difficultés à la formation. Toutefois, le président de Awalé croit que l’absence du document ne peut en aucun cas l’empêcher d’être candidat à la présidentielle de 2024 où il compte y prendre part sous la bannière d’une coalition.
« Chacun à son problème. Dans sa démarche de dissolution du Pastef, c’est dans cette dynamique qu’il (Antoine F. A. Diome NDLR) nous a refusé à nous Awalé d’avoir un récépissé sans aucune base légale. Nous sommes des citoyens sénégalais, nous avons emprunté toutes les voies légales pour être un parti reconnu», a expliqué le candidat déclaré à la présidentielle de 2024 après avoir fait un commentaire sur ce qu’il qualifie d’injustice à l’encontre de Ousmane Sonko et de son parti dissous. Pour étayer ses propos, l’ancien compagnon d’Idrissa Seck de préciser sur des correspondances adressées à l’autorité.
« Nous lui avons adressé deux correspondances et il nous a répondu. Dans sa première réponse, il nous a fait savoir que les ‘’Jambars’’ que nous avons utilisé en complément du nom de notre parti Awalé-les Jambars est une appellation propre aux soldats et qu’il ne fallait pas l’utiliser. Pour éviter des histoires, nous avons jugé nécessaire de l’enlever. Dans sa deuxième réponse, il nous a interpellé sur un point de nos statuts qui dit qu’un ressortissant à l’étranger peut cotiser pour la bonne marche du parti ce qu’il a qualifié d’illégal au Sénégal même si nous ne partageons pas la même posture sur cela. La loi n’interdit pas à un citoyen résidant à l’étranger de participer à la vie de son parti politique basé au Sénégal mais toujours pour ne pas créer d’histoires nous lui avons souligné que nous enlèverons cette phrase des statuts. », a confié Dr Diouf. Pour l’opposant, ces discussions avec l’autorité datent d’au moins d’un an. Dr Abdourahmane Diouf a également laissé entendre que toutes les démarches nécessaires à l’obtention du récépissé ont été effectuées mais que le document tarde toujours à leur être restitué ce qui selon lui, cause énormément de difficultés à la formation. Toutefois, le président de Awalé croit que l’absence du document ne peut en aucun cas l’empêcher d’être candidat à la présidentielle de 2024 où il compte y prendre part sous la bannière d’une coalition.
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