L'administration publique sénégalaise tend vers une digitalisation de ses instituts. Cette digitalisation entre dans le cadre de la modernisation des services publics. Ainsi, l'Adie va accélérer le processus de dématérialisation des procédures administratives pour une amélioration de la qualité digitale.
Selon le directeur général de l'agence de développement de l'informatique de l'État (Adie), Cheikh Bakhoum, la sécurité des systèmes d'information est un volet que le Sénégal a pris avec beaucoup de vigueur en mettant en place la commission nationale de cryptologie afin de faire face à la cybercriminalité.
Il souligne que son entité a déjà dématérialisé 50 procédures, s'y ajoute une autre centaine de procédures aussi dématérialisées dans l'administration sénégalaise par d'autres institutions. L'enjeu c'est de permettre à l'État du Sénégal avec tous ses projets développé un peu partout dans l'administration puisse être dématérialisé d'ici 2025.
S'exprimant sur la cherté de l'Internet au Sénégal, M. Bakhoum soutient que le gouvernement prévoit de "se connecter à un câble sous-marin. Mieux, dit-il, il envisage de mettre sur le marché d'ici deux ans, 100 autres giga bits sur les 172 déjà dans la bande passante internationale. Ce qui va renforcer l'offre au niveau du pays et d'amoindrir le coût de l'Internet".
Selon le directeur général de l'agence de développement de l'informatique de l'État (Adie), Cheikh Bakhoum, la sécurité des systèmes d'information est un volet que le Sénégal a pris avec beaucoup de vigueur en mettant en place la commission nationale de cryptologie afin de faire face à la cybercriminalité.
Il souligne que son entité a déjà dématérialisé 50 procédures, s'y ajoute une autre centaine de procédures aussi dématérialisées dans l'administration sénégalaise par d'autres institutions. L'enjeu c'est de permettre à l'État du Sénégal avec tous ses projets développé un peu partout dans l'administration puisse être dématérialisé d'ici 2025.
S'exprimant sur la cherté de l'Internet au Sénégal, M. Bakhoum soutient que le gouvernement prévoit de "se connecter à un câble sous-marin. Mieux, dit-il, il envisage de mettre sur le marché d'ici deux ans, 100 autres giga bits sur les 172 déjà dans la bande passante internationale. Ce qui va renforcer l'offre au niveau du pays et d'amoindrir le coût de l'Internet".
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