Grégoire Ndjaka le Directeur Général de l'Union africaine de radiodiffusion s’est dit surpris par la demande faite par la presse privée nationale qui demande au président de la République Macky Sall d’enjoindre la RTS à autoriser les autres chaînes de télévision à reprendre le signal de la RTS pour diffuser la finale de la coupe d’Afrique des Nations (CAN). Pour Grégoire Ndjaka cela est méconnaitre les procédures en vigueur dans ce domaine et d 'ailleurs a-t-il rappelé, il n’y existe pas de gratuité.
« Je suis surpris par la réaction de la presse sénégalaise. La RTS est liée à la CAF par un contrat stipulant clairement que la RTS n'a pas le droit de donner ses images à un tiers que ce soit au niveau de la radio ou de la télévision. Maintenant compte tenu de la situation, nous sommes prêts à transmettre dans les meilleurs délais une demande faite par la RTS pour qu’on lui donne l’autorisation de donner des images à un tiers » a-t-il d’abord indiqué.
« Il faut savoir qu’il n’y a pas de gratuité dans ce domaine-là. La RTS nous écrit rapidement, et nous on transmet à la CAF et on attend sa réponse. Mais il faudrait par la suite payer. » a-t-il ajouté
Pour finir Ndjaka de rappeler que dans plusieurs pays comme le Sénégal il a été mis en place un dispositif avec des avocats et des huissiers qui seront là à veiller pour que cette disposition contractuelle avec les partenaires soient traduits en acte et soient appliqués dans toute sa rigueur. « Parce que c’est de cela qu’il est question » a-t-il conclu.
« Je suis surpris par la réaction de la presse sénégalaise. La RTS est liée à la CAF par un contrat stipulant clairement que la RTS n'a pas le droit de donner ses images à un tiers que ce soit au niveau de la radio ou de la télévision. Maintenant compte tenu de la situation, nous sommes prêts à transmettre dans les meilleurs délais une demande faite par la RTS pour qu’on lui donne l’autorisation de donner des images à un tiers » a-t-il d’abord indiqué.
« Il faut savoir qu’il n’y a pas de gratuité dans ce domaine-là. La RTS nous écrit rapidement, et nous on transmet à la CAF et on attend sa réponse. Mais il faudrait par la suite payer. » a-t-il ajouté
Pour finir Ndjaka de rappeler que dans plusieurs pays comme le Sénégal il a été mis en place un dispositif avec des avocats et des huissiers qui seront là à veiller pour que cette disposition contractuelle avec les partenaires soient traduits en acte et soient appliqués dans toute sa rigueur. « Parce que c’est de cela qu’il est question » a-t-il conclu.
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