Après deux semaines hors de son pays, le président déclaré élu par la commission nationale électorale avec un score de 53,55%, Umaro Sissoco Embalo est rentré à Bissau.
À sa descente d'avion, le Général de division a laissé entendre qu'il entrerait officiellement dans ses fonctions de chef d'Etat ce jeudi 27 février. Embalo n'est pas sans savoir que la Cour suprême a exigé un nouveau décompte des résultats du second tour de la présidentielle.
Mais à son avis, la juridiction suprême a le temps nécessaire pour faire son travail. Pour ce qui le concerne, il fera le sien qui consiste à organiser son investiture dans la plus grande sobriété.
Le Madem G15 a instruit son groupe parlementaire de convoquer une session à l'Assemblée nationale populaire pour la cérémonie.
La Commission de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest a, dans un communiqué, invité la Cour suprême et la CNE à coopérer de manière constructive afin de sauvegarder l'intégrité du processus électoral, condition et gage de la paix et de la stabilité du pays.
Par ailleurs, l'instance exécutive de la CEDEAO informe que des « sanctions pourront être prises contre tous les acteurs qui n'agiraient pas dans le sens de la normalisation politique et institutionnelle en Guinée Bissau ».
À sa descente d'avion, le Général de division a laissé entendre qu'il entrerait officiellement dans ses fonctions de chef d'Etat ce jeudi 27 février. Embalo n'est pas sans savoir que la Cour suprême a exigé un nouveau décompte des résultats du second tour de la présidentielle.
Mais à son avis, la juridiction suprême a le temps nécessaire pour faire son travail. Pour ce qui le concerne, il fera le sien qui consiste à organiser son investiture dans la plus grande sobriété.
Le Madem G15 a instruit son groupe parlementaire de convoquer une session à l'Assemblée nationale populaire pour la cérémonie.
La Commission de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest a, dans un communiqué, invité la Cour suprême et la CNE à coopérer de manière constructive afin de sauvegarder l'intégrité du processus électoral, condition et gage de la paix et de la stabilité du pays.
Par ailleurs, l'instance exécutive de la CEDEAO informe que des « sanctions pourront être prises contre tous les acteurs qui n'agiraient pas dans le sens de la normalisation politique et institutionnelle en Guinée Bissau ».
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