D'une distance de 400 mètres à partir de la piste d’atterrissage, l’emprise du Vor de l’Aéroport international Léopold Sédar Senghor a été portée à 350 mètres par un décret présidentiel signé en 2014. Une mesure prise sans l’aval des autorités aéroportuaires car, la distance de 400 mètres est une norme internationale de l’Organisation de l’aviation civile internationale (Oaci). D’ailleurs, informe le Directeur de l’Anacim repris par Libération, si l’Oaci, dont la mission d’inspection a été décalée en 2016, débarquait aujourd’hui à l’Aéroport international Léopold Sédar Senghor (Ails), il ne fait aucun doute que ledit site serait déclassé. D’où l’urgence pour l’Aidb de mettre la pression sur le groupe Bin Laden afin que le futur aéroport ouvre ses portes.
Sinon, nombre de compagnies risquent de bouder l’Ailss à cause du non respect des normes sécuritaires aéroportuaires.
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