Il s’appelait Ibrahima Bâ. Âgé d’un an et demi, il était le fils de Adama Bâ, une ressortissante guinéenne employée comme aide-ménagère chez un certain Malamine Ndoye, mécanicien résidant dans le quartier de Yeumbeul Darou Salam 5. Ce samedi-là, la vie du petit Ibrahima s’est arrêtée dans des circonstances aussi tragiques qu’énigmatiques.
Le réveil de l’horreur
D’après les premiers témoignages, la mère et l’enfant s’étaient assoupis ensemble dans une pièce du rez-de-chaussée de la maison. Pendant cette sieste, l’enfant se serait discrètement réveillé, échappant à la vigilance de sa mère encore endormie. Il aurait alors gravi seul les escaliers menant à la terrasse, un espace où sa mère faisait souvent la lessive. C’est là que s’est produit l’irréparable.
Le corps d’Ibrahima a été retrouvé la tête plongée dans une bassine à moitié remplie d’eau, les jambes encore à l’extérieur. Une image insoutenable, qui laisse supposer une noyade accidentelle, mais qui, à ce stade, n’écarte aucune piste.
Une mère effondrée, un quartier bouleversé
À son réveil, la mère découvre la scène. Paniquée, elle se précipite au centre hospitalier de Yeumbeul. Trop tard : les médecins constatent le décès du nourrisson, puis délivrent immédiatement une déclaration de mort suspecte. La nature du décès, combinée à l’âge de la victime et aux circonstances, alerte automatiquement les autorités.
À 20h30, deux hommes – Malamine Ndoye, l’employeur de la mère, et Mamadou Boye Bâ, un commerçant du quartier – se présentent au commissariat pour signaler le drame, visiblement sous le choc. Une enquête est aussitôt déclenchée.
Les premiers éléments de l’enquête
Les enquêteurs, envoyés sur les lieux, confirment la présence de la bassine d’eau sur la terrasse d’un bâtiment de deux étages, exactement comme décrit par les témoins. Le corps de l’enfant avait déjà été transporté à la morgue de l’hôpital. Pour l’instant, aucune trace de lutte ou de blessure suspecte n’a été évoquée officiellement. Mais le parquet, prudent, n’écarte ni la piste accidentelle, ni celle d’une éventuelle négligence ou d’un acte criminel.
Le procureur de la République a ordonné une autopsie, dont les résultats seront déterminants pour la suite de la procédure. La garde de l’enfant, le contexte familial, et le niveau de surveillance autour du nourrisson au moment des faits seront scrutés avec attention.
Le réveil de l’horreur
D’après les premiers témoignages, la mère et l’enfant s’étaient assoupis ensemble dans une pièce du rez-de-chaussée de la maison. Pendant cette sieste, l’enfant se serait discrètement réveillé, échappant à la vigilance de sa mère encore endormie. Il aurait alors gravi seul les escaliers menant à la terrasse, un espace où sa mère faisait souvent la lessive. C’est là que s’est produit l’irréparable.
Le corps d’Ibrahima a été retrouvé la tête plongée dans une bassine à moitié remplie d’eau, les jambes encore à l’extérieur. Une image insoutenable, qui laisse supposer une noyade accidentelle, mais qui, à ce stade, n’écarte aucune piste.
Une mère effondrée, un quartier bouleversé
À son réveil, la mère découvre la scène. Paniquée, elle se précipite au centre hospitalier de Yeumbeul. Trop tard : les médecins constatent le décès du nourrisson, puis délivrent immédiatement une déclaration de mort suspecte. La nature du décès, combinée à l’âge de la victime et aux circonstances, alerte automatiquement les autorités.
À 20h30, deux hommes – Malamine Ndoye, l’employeur de la mère, et Mamadou Boye Bâ, un commerçant du quartier – se présentent au commissariat pour signaler le drame, visiblement sous le choc. Une enquête est aussitôt déclenchée.
Les premiers éléments de l’enquête
Les enquêteurs, envoyés sur les lieux, confirment la présence de la bassine d’eau sur la terrasse d’un bâtiment de deux étages, exactement comme décrit par les témoins. Le corps de l’enfant avait déjà été transporté à la morgue de l’hôpital. Pour l’instant, aucune trace de lutte ou de blessure suspecte n’a été évoquée officiellement. Mais le parquet, prudent, n’écarte ni la piste accidentelle, ni celle d’une éventuelle négligence ou d’un acte criminel.
Le procureur de la République a ordonné une autopsie, dont les résultats seront déterminants pour la suite de la procédure. La garde de l’enfant, le contexte familial, et le niveau de surveillance autour du nourrisson au moment des faits seront scrutés avec attention.
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