Dans le cadre de mesures prises pour risposter contre le Covid-19, le ministre de l'économie, du plan et de la coopération, a annoncé hier "que L'État du Sénégal a dégagé un budget de 64 milliards avec notamment le soutien de partenaires économiques".
Cependant, il a voulu ce matin, lors de sa rencontre avec le secteur privé national, donner des éclairages à la presse qui, selon lui, "a émis une certaine confusion sur l'objectif principal des 64 milliards prévus en guise de riposte au coronavirus. Je tiens à signaler ici, que ce budget n'est pas pour une riposte économique, ni un appui économique, mais plutôt une somme entièrement dédiée à la riposte sanitaire", précise le ministre de l'économie.
C'est donc un budget qui est géré par le ministère de la santé.
Ces précisions sont faites pour rappeler que, ce budget de 64 milliards est différent du Fonds de solidarité sur lequel l'État du Sénégal est en train de travailler.
"Mais il sera d'abord question de faire des études sur les entreprises, les ménages, les populations pour voir les possibilités d'appui et de soutien tenant compte du degré de leur faiblesse face aux risques du Covid-19", ajoute Amadou Hott.
Cependant, il a voulu ce matin, lors de sa rencontre avec le secteur privé national, donner des éclairages à la presse qui, selon lui, "a émis une certaine confusion sur l'objectif principal des 64 milliards prévus en guise de riposte au coronavirus. Je tiens à signaler ici, que ce budget n'est pas pour une riposte économique, ni un appui économique, mais plutôt une somme entièrement dédiée à la riposte sanitaire", précise le ministre de l'économie.
C'est donc un budget qui est géré par le ministère de la santé.
Ces précisions sont faites pour rappeler que, ce budget de 64 milliards est différent du Fonds de solidarité sur lequel l'État du Sénégal est en train de travailler.
"Mais il sera d'abord question de faire des études sur les entreprises, les ménages, les populations pour voir les possibilités d'appui et de soutien tenant compte du degré de leur faiblesse face aux risques du Covid-19", ajoute Amadou Hott.
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